LE BLOG QUI EN A RAS LE CUL – «Un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur" De Gaulle

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L’espoir et la Tragédie – partie 1: l’avant première guerre mondiale

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Caroll Quinley n’est pas le premier venu. Il faisait partie de la conspiration. Il faut comprendre le titre de son ouvrage comme l’espoir d’un gouvernement global sous la main mise de la finance apatride et la (ou les) tragédie(s) nécessaire(s) pour y parvenir. Cela fait bien longtemps que je voulais m’atteler à écrire sur son ouvrage qui fait tout-de-même plus de 1300 pages. Il s’agit du deuxième tome sur l’histoire de l’humanité. Y est décrit l’histoire contemporaine depuis la fin du 19ème siècle jusqu’au début des années 60. L’ouvrage fut publié en 1966, c’est assez vieux donc, mais l’essentiel y est puisque ce que nous vivons n’est que le parachèvement de ce qui fut pensé de longue date et c’est cela qui est dévoilé à tout un chacun dans cet ouvrage, à la portée de tous. Comme le dit la jacket de l’ouvrage:

« Pour comprendre l’état d’esprit qui façonne ce monde, lisez le livre qui façonne leur état d’esprit »

Caroll Quinley, théoricien de l’évolution des civilisations, passe sa thèse à Harvard, enseigne à l’université de Princeton, Harvard, puis au département des services étrangers de l’université Gorgetown (d’où est issue pas mal de commissaires européens dont Barrosso et haut lieu de la formation des cadres de la CIA). Le professeur Quinley fut aussi consultant pour le département de la défense américaine, l’US Navy, ainsi que d’autres sociétés semi-secrètes. Théoricien du métissage et du relativisme, il déclare:

« Il est clair que l’Occident croit en la diversité plutôt que l’uniformité, le pluralisme plutôt que dans le monisme ou le dualisme, l’inclusion plutôt que l’exclusion, à la liberté plutôt que l’autorité, en la vérité plutôt que dans la puissance, la conversion plutôt que dans l’anéantissement, à l’individu plutôt que dans l’organisation, dans la réconciliation plutôt que dans le triomphe, l’hétérogénéité plutôt que de l’homogénéité, en relativismes plutôt que dans l’absolu, et dans les approximations plutôt que dans les réponses définitives. »

Nous allons voir ce qu’il entend par là. Regardons donc quelques extraits de l’opus sus-mentionné. On commence par ce que nombreux n’ont pas encore compris (l’ouvrage est disponible ici en pdf):

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C’est juste un petit rappel pour ceux qui n’avaient pas encore saisi le concept. C’est un peu cours, il faudrait apporter des arguments, vous allez me dire. On y vient. Petit détour en passant pour comprendre le désir des élites américaines d’interdire les armes à feu dans ce pays. D’autres en on parlé mieux que je ne saurais le faire. Ceci est juste pour confirmer quelle est l’intention derrière cette politique:

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Continuons notre lecture, et entrons dans le vif du sujet:

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Rien de nouveau sous le soleil me direz-vous. Certes, mais c’est si joliment dit que je ne vous en aurait pas privé. C’est ainsi que la France de Napoléon, pourtant totalement entre les mains de la Banque (privée) de France, devait malgré tout perdre la guerre contre l’Angleterre… Pour une raison simple: qui se soumet en totalité, s’endette et scelle sa soumission. Mais, en contre partie, celui qui se soumet corps et âme reçoit les moyens de vaincre ceux qui ne se soumettent pas (ou moins).

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Peu à peu nous découvrons ainsi que ces forces obscures sont nés dans les monarchies et ont œuvré à leur remplacement par des instituions démocratiques beaucoup plus arrangeantes et dont la finalité est évidemment la destruction des nations.

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Bien sûr, la réalité des intentions doit être cachée du grand public. Tout doit se faire dans l’ombre, comme toute conspiration. Sinon, c’est la révolte assurée des peuples dont on planifie l’esclavage. Les centres d’intérêts des conspirateurs ? Comme on vient de le voir: les dettes des états et les antichambres secrètes du pouvoir.

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Alors pourquoi la démocratie est plus intéressante que la royauté ? Eh bien c’est très simple. En dehors du fait que les riches payent la campagne (publicitaire) électorale de ceux qui deviennent leur débiteurs, l’autre raison est la suivante. Le monarque qui a la charge du bien-être de son peuple doit être au fait de tous les tenants et aboutissants de son pouvoir et notamment son son financement. Or la démocratie permet de mettre au pouvoir des abrutis incompétents et corruptibles pour un temps limité (voir la vidéo de Chouard). Outre que cela permet une corruption plus importante, cela inaugure surtout le règne des « conseillers de l’ombre ». Ministère de l’agriculture ? Quelqu’un qui n’a jamais mis les pieds dans un champ, ministère des transport ? Quelqu’un qui se fait conduire dans une voiture de fonction… Ministre de l’économie ? Se sera un ignorant total sur le fonctionnement monétaire… ou encore mieux, un banquier qui en la matière a la science infuse !

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Aux États-Unis, quelques uns de ces « conseillers de l’ombre » furent:

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A propos de quelques uns des personnages cités:

« This new and complete Revolution we contemplate can be defined in a very few words. It is outright world-socialism, scientifically planned and directed… »

  • Edward Grenfell, fut gouverneur de la Banque d’Angleterre et œuvra pour que tous les achats des Britanniques et des alliées aux américains durant la première guerre mondiale soient gérés exclusivement par la compagnie JPMorgan.
  • Willard Straight qui se fiança avec une fille de Théodore Roosevelt avant d’épouser une descendante de la famille Whitney (financiers philanthropes) était lui aussi membre de sociétés semi-secrètes telles que Delta Tau Delta (voir les membres ici) ou encore la Sphinx Head Society. membre du « prepardness movement » pour encourager et préparer les USA a entrer dans la guerre contre l’Allemagne 1914, il meurt à la « conférence de la paix » en 1919 là où se réunissait les vainqueurs de l’Allemagne.
  • Dwight Morrow, n’est pas mal dans le genre non plus. Multimillionnaire, membre de nombreuses multinationales entre les mains de JPMorgan, et ayant de bonnes connexions avec les hauts gradés de l’armée, il fut aussi ambassadeur au Mexique et réussi a convaincre le département d’Etat américain a soutenir militairement le gouvernement Calles dans l’éradication de l’église catholique au Mexique par des pillages massifs, viols, tortures et assassinats de prêtres, ainsi que la destruction d’églises, au nom de l’appel à la paix (on connait la technique).
  • Nelson Perkins, secrétaire d’État auprès de Théodore Roosevelt et représentant les intérêts de JPmorgan, il eu aussi un certain rôle à jouer dans l’histoire du Canal de Panama.
  • Russel leffingwell, à la tête du CFR de 1944 à 1953, membre de la Carnegie Corporation (Institution qui parmi tant d’autres favorise le « dialogue US-islam » pour une meilleure intégration de l’islam…
  • Elihu Root, lui c’est pas n’importe qui, prix Nobel de la Paix, membre des sociétés semi-secrète Sigma-Phi Society et Phi Betta Kappa Society, lui aussi un ardent défenseur de la paix qui œuvra pour la préparation des USA dans la guerre contre l’Allemagne (sic). Dès juin 1917 il fut très officiellement envoyé dans la très fraichement Russie bolchévique pour signer des accords de partenariat avec les US. Il fut par ailleurs un membre fondateur du CFR. J’en passe et des meilleures, membre de la Carnegie, favorable à la Société des Nations, etc, etc.
  • John W. Davis, membre des sociétés semi-secrètes Phi Kappa Psi, Phi Beta Kappa, franc-maçon, membre de Carnegie, de la fondation Rockfeller et surtout faisant parti du complot contre le gouvernement américain « buisness plot » dont j’avais déjà parlé . Il devient conseillé juridique auprès de JPMorgan lors de l’enquête du Sénat sur les origines de la crise de 1929, etc etc.
  • John Foster Dulles, secrétaire d’État américain sous Eisenhower, son frère était directeur de la CIA, supporteur de la Société des Nations, membre de la société semi-secrète Phi Beta Kappa, et de l’American Whig–Cliosophic Society. Spécialisé dans la finance internationale, il contribua au plan Dawes qui mit l’Allemagne à genoux mais qui permettait à la France et à la Grande Bretagne de rembourser leurs prêts auprès de Wall Street, dont il s’occupait personnellement. Il fut l’un des auteurs de la charte des Nations Unies et des promoteurs de l’OTAN. Il œuvra à la perte d’influence de la France, notamment au Vietnam. Architecte du Traité de l’Organisation de l’Asie du Sud, il fut aussi favorable à l’utilisation de la CIA pour renverser les gouvernement d’Amérique du Sud, notamment au Nicaragua. Il était aussi membre de Carnegie, de la fondation Rockefeller et membre fondateur du CFR, parmi d’autres.
  • Seymour Parker Gilbert, banquier à la solde de JPMorgan, il supervisait le remboursement de l’Allemagne, responsable de l’exécution du plan Dawes.

Je n’ai pas spécifié, mais la majorité d’entre eux étaient des protestants, voir des presbytériens. Mais encore une fois, il ne s’agissait que des agents du système bancaire. Les croyances des vraies patrons étaient un peu plus hétérogènes, et bien sûr, les banques centrales crées par les nations furent bien vite trustées:

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Bien sûr, puisque l’argent vient d’une petite clique très restreinte, tout (doit) découle(r) d’eux:

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Dans cette ambiance euphorique d’un pouvoir absolu grâce à l’illusion démocratique, la finance internationale n’a pas vu venir le péril nationaliste. C’est bien pour cette raison que celui-ci est aujourd’hui considéré comme le mal absolu. D’ailleurs, le régime de Vichy (entre autres) fut mis au banc (financier) des nations, tandis que des régimes comme le National Socialisme, pour rendre une certaine souveraineté au peuple s’allia avec le monde de entrepreneuriat (Siemens, Bosch et tant d’autres) qui cherchaient à s’émanciper de la main mise financière apatride. En outre, un autre grand entrepreneur, Ford, n’a pas mâché ses mots. Pour l’auteur, le « monopole capitaliste », c’est-à-dire la totalité des leviers politiques entre les mains de la finance apatride, est le seul moyen d’obtenir le bonheur… s’y refuser, c’est courir à l’échec.

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Depuis la naissance des nationalismes, et malgré la propagande de matraquage, la finance internationale fut durant le dernier siècle tenue en bride, ou du moins ne jouissait plus de toutes ses prérogatives passées (reconquises en quasi totalité depuis une vingtaine d’années). Pour l’auteur (qui appartient à cette élite apatride) l’hégémonie de la finance internationale d’avant la naissance du nationalisme militant est une époque dorée qu’il faut tendre a retrouver:

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Pour terminer, une des méthode évoquée pour retrouver ce passé doré, c’est l’usage du socialisme, ici dénommé progressisme (l’ouvrage étant édité en 1966, le terme « socialisme » n’était pas en odeur de sainteté aux US) pour assoupir les peuples:

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L’accord de Cotonou de 2010, Comment l’Europe plannifie la disparition des petites Etat-Nations

L’accord de Cotonou scelle une nouvelle relation entre l’Union Européenne et les pays ACP (Afrique – Caraïbe – Pacifique). C’est une belle invention qui nous vient tout droit de la commission européenne, qui fleure bon la dictature mondiale, et la suppression pure et simple des petites nations dans le monde. On peut trouver le texte officiel ici, que je vais m’empresser de disséquer.

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Introduction

Article 2 « En vue de la réalisation des objectifs du partenariat, les États ACP déterminent, en toute souveraineté, les stratégies de développement de leurs économies et de leurs société. »

On va voir plus loin ce que la commission européenne entend par souveraineté. N’y croyez rien, ce mot est vide de sens, l’objectif est bien d’intégrer une gouvernance mondiale, en posant les jalons d’un intégration d’abord régionale puis continentale:

Article 3 « Le dialogue porte sur l’ensemble des objectifs et finalités définis dans le présent accord ainsi que sur toutes les questions d’intérêt commun général ou régional, y compris les questions relatives à l’intégration régionale ou continentale. »
Article 9 – 2 « Les parties s’engagent à promouvoir et protéger toutes les libertés fondamentales et tous les droits de l’homme, qu’il s’agisse des droits civils [limitation de la liberté d’expression] et politiques [inféodations au partis politiques subventionnés par les fortunes apatrides], ou économiques [droit au chômage et à la paupérisation], sociaux [le mariage pour tous] et culturels [promotion du multiculturalisme]. […] Les principes démocratiques sont des principes universellement reconnus sur lesquels se fonde l’organisation de l’État pour assurer la légitimité de son autorité. »

Donc sortir de la démocratie est illégal, on n’a pas même besoin de se poser la question puisque c’est un « principe universellement reconnu » …universellement reconnu comme étant un système défectueux et servant les intérêts de l’oligarchie apatride, par tous les penseurs honnêtes tout du moins. On remarquera que dans l’histoire les démocraties ne se sont pas gênées pour bafouer les droits de l’homme dont elles font pourtant la promotion.

Article 9 – 3 « Le renforcement des capacités pour l’élaboration et la mise en œuvre de mesures visant en particulier la prévention et la lutte contre la corruption. »

Encore des vœux pieux, que l’on a notamment entendu dans la bouche de ineffable Cahuzac. En réalité, une telle institution qui se réclame de la démocratie devient intouchable pour le commun des mortels qui se perdent dans un dédale administratif de type soviétique s’ils devaient vouloir faire valoir leurs droits. Or on sait où mène l’impunité… certainement pas à la lutte contre la corruption. En fait, ce document est rempli de bons sentiments, paix, justice, amour bisous bisous. Évidemment, les signataires savent tous que cela n’est que du bidon. Les petits trafiquants par exemple sont peut-être pourchassés, mais uniquement s’ils ne servent pas les intérêts des mafias planétaires toutes puissantes. De toute manière, où est l’organisme indépendant chargé de vérifier le respect de l’individu et de sa liberté ? Nulle part… les signataires sont donc juges et parties, on est chargé de les croire sur parole.

Souveraineté ?

Au nom de la paix les nations sont sommées de se désarmer… Pardon, mais la paix s’impose et s’obtient lorsque l’on est capable de se défendre à tout type d’agression. Il n’est pas sûr que les USA auraient atomisé le Japon si à l’époque le Japon avait disposé de l’arme nucléaire… Et pourtant, on peut lire:

« Article 11b -1 Les parties conviennent en conséquence de coopérer et de contribuer à la lutte contre la prolifération des armes de destruction massive et de leurs vecteurs en veillant au respect intégral et à la mise en œuvre au niveau national des obligations qu’elles ont contractées dans le cadre des traités et accords internationaux de désarmement et de non-prolifération ainsi que de leurs autres obligations internationales en la matière. Les parties conviennent que la présente disposition constitue un élément essentiel du présent accord. »

Ainsi, les nations en voie de disparition seront de toute façon totalement désemparée dans le cas où elles voudraient se rebeller contre cette politique mondialiste entre les mains d’on sait qui. D’ailleurs, si une nation devait être soupçonnée de vouloir continuer à se défendre, alors:

Article 11b – 6 « Si les consultations ne conduisent pas à une solution acceptable par les parties, en cas de refus de consultation ou en cas d’urgence particulière, des mesures appropriées peuvent être prises.« 

Article 96 1 – c « Les « mesures appropriées » au sens du présent article, sont des mesures arrêtées en conformité avec le droit international et proportionnelles à la violation. »

Menace qui n’est même pas voilée. En d’autres termes, rendez les armes ou ça va chier pour votre matricule. La suite est aussi intéressante: on a vu que les pays ACP géraient leur politique souverainement. On va voir ce que signifie vraiment le mot « souverain » sous la plume des mondialistes:

Article 12 « Lorsque la Communauté [européenne] envisage, dans le cadre de ses compétences, de prendre une mesure susceptible d’affecter les intérêts des États ACP, pour autant que les objectifs du présent accord soient concernés, elle en informe le groupe ACP en temps utile.« 

C’est ça la souveraineté ?? Mais de qui se moque t-on ?! On a décidé pour vous et on vous avertira quand on le jugera nécessaire… elle est pas belle votre souveraineté ? Et si les pays ACP ne sont pas d’accord ? Toujours dans l’article 12:

En cas de besoin (sic), une demande d’information peut également être introduite à l’initiative des États ACP. À la demande de ceux-ci, des consultations ont lieu à bref délai afin qu’il puisse être tenu compte de leurs préoccupations quant à l’impact de ces mesures avant qu’une décision finale ne soit prise. Si la Communauté ne donne pas suite aux observations des États ACP, elle les en informe dès que possible en indiquant ses raisons. Le groupe ACP reçoit en outre, si possible à l’avance, des informations adéquates sur l’entrée en vigueur de ces décisions.

On croit rêver ! Donc les pays en pleine possession de leur prétendue souveraineté on juste le droit de dire: « heu, s’il vous plait, on pourrais dire quelque chose ? Parce que ça nous concerne quand même. » La communauté dans son extrême bonté l’écoute et en cas de refus de la dite demande, l’UE se contente de lui en révéler la raison, par exemple: « on vous emmerde« . Ça c’est une raison qu’elle est bonne, non ? De toute façon, ils ne seront mis au jus que plus tard, c’est-à-dire mis devant le fait accompli ! Elle est belle la souveraineté. Autant déclarer tout de suite que les nations ACP n’existent plus, ce serait plus honnête. Au fait, c’est qui ces états qui de fait vont disparaître en tant que tel, en voilà la liste:

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Immigration

Article 13 – 2 « Les parties sont d’accord pour considérer qu’un partenariat implique, à l’égard des migrations, un traitement équitable des ressortissants des pays tiers résidant légalement sur leurs territoires, une politique d’intégration ayant pour ambition de leur offrir des droits et obligations comparables à ceux de leurs citoyens, à favoriser la non-discrimination dans la vie économique, sociale et culturelle et à mettre en place des mesures de lutte contre le racisme et la xénophobie. »

En d’autres termes, génocide globale des cultures locales, mélangez-vous ! Et ceux qui refusent sont des racistes xénophobes ! Et bien sûr, il va falloir héberger, nourrir, loger et trouver un emploi à tous les étrangers désireux de venir chez vous sans aucun favoritisme pour les membres de votre propre peuple !

Article 12 – 3 « Chaque État membre accorde aux travailleurs ressortissant d’un pays ACP exerçant légalement une activité sur son territoire, un traitement caractérisé par l’absence de toute discrimination fondée sur la nationalité par rapport à ses propres ressortissants, en ce qui concerne les conditions de travail, de rémunération et de licenciement. Chaque État ACP accorde, en outre, à cet égard un traitement non-discriminatoire comparable aux travailleurs ressortissants des États membres. »

Les Institutions

Tout ce micmac qui se fait dans le dos des peuples est géré par trois institutions, le conseil des ministres, le comité des ambassadeurs et l’Assemblée parlementaire paritaire.

Le conseil des ministres

Article 15 – 1 « Le Conseil des ministres est composé, d’une part, des membres du Conseil de l’Union européenne et de membres de la Commission des Communautés européennes et,d’autre part, d’un membre du gouvernement de chaque État ACP. »

Donc les représentants des peuples des petits pays d’Afrique, Caraïbe et Pacifique auront en face d’eux des gens cooptés venant du Bilderberg, de la Trilatérale, de Goldman Sucks ou ayant étudié à l’université Georgetown, comme Barroso, haut lieu de la formation des cadres de la CIA, et nullement des représentants des peuples européens. Et ce sont ces gens là qui en notre nom vont imposer les réformes sociétales et économique aux pays ACP. Le conseil des ministres donne la ligne à suivre, son rôle est « d’adopter les orientations de politiques. » Pour adopter une mesure politique, il suffit de

Article 15 – 3 « la moitié des membres du Conseil de l’Union européenne, d’un membre de la Commission et des deux tiers des membres représentant les gouvernements des États ACP. »

Mais le meilleur, c’est que le conseil des ministres, (issu du même article):

« peut prendre des décisions qui sont obligatoires pour les parties.« 

C’est comme ça, point barre, y’a pas à discuter.

Le comité des ambassadeurs

Article 16 – 1 « Le Comité des ambassadeurs est composé, d’une part, du représentant permanent de chaque État membre auprès de l’Union européenne et d’un représentant de la Commission et, d’autre part, du chef de mission de chaque État ACP auprès de l’Union européenne. »

Cette fois-ci, pas un seul des membres n’est connu du grand public, que d’illustres inconnus arrivés là par la grâce du saint esprit et aux commandes des nations. Le comité des ambassadeurs c’est grosso modo le pouvoir exécutif, il applique dans les détails la politique générale décidée par le conseil des ministres. Bref, c’est une usine à gaz technocratique aisément corruptible… un machin au service des intérêts supérieurs de la finance apatride.

L’assemblée paritaire

C’est le seul organe pseudo-démocratique. C’est-à-dire que des membres élus devrons y siéger. Quand on connait le foutoir pas possible du parlement européen avec des élus ayant des salaires de président de la République et l’oreille attentive à tous les lobbies de la finance, en passant par la pharmacie jusqu’au BTP… on a de bonnes raisons de se faire du soucis. De toute façon, son rôle est juste de « promouvoir » la paix et l’amour, « d’examiner » les rapports qu’on lui fournit. Bref, c’est la Douma soviétique au pouvoir essentiellement consultatif !

Le développement économique

Les objectifs ? Des pages de blabla ou on trouve entre autre « l’éradication de la pauvreté »… On se demande par quel moyen, par l’éradication des pauvres ? Les termes sont tellement fourres tout et vagues, qu’on peut y mettre tout et n’importe quoi. On notera tout de même des points qui eux sont beaucoup plus précis:

Article 21 – 1 – c « la privatisation et la réforme des entreprises« 

les entreprises de bien publics des petits pays comme pour l’approvisionnement en eau vont désormais devoir faire du chiffre d’affaire et non plus servir l’intérêt commun.

Article 21 – 2 – c « Mobilisation des flux d’épargne privée, tant domestiques qu’étrangers, pour le financement d’entreprises privées, par le soutien des politiques destinées à développer un secteur financier moderne, y compris les marchés des capitaux, les institutions financières et les opérations viables de microfinance.« 

Donc la finance apatride va pouvoir se servir, c’est open-bar ! Et en ce qui concerne la microfinance, j’en avais déjà parler: nul ne doit pouvoir se soustraire au pouvoir financier !

Article 21 – 3 « La coopération vise à promouvoir le développement des entreprises par des financements, des facilités de garantie et un appui technique. »

Donc non seulement il faut ouvrir les frontières, mettre en concurrence les petites structures artisanales avec les mastodontes multinationales, mais les peuples doivent en plus leur apporter financement, garanties et appui technique… dans le langage courant on dit « file moi cent balles et un mars« . L’objectif étant encore une fois:

Article 22 – 1 – b – v « Encourager la coopération régionale et l’intégration progressive des politiques macroéconomiques et monétaires« 

Autrement dit, c’est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial et la standardisation des politiques économiques et monétaires gérées par la toute puissance de USraël. Une sorte de jeu de domino, une structure en forme d’oignon avec au cœur, l’élite apatride, l’empire US aux ordres qui a la main sur son vassal européen et ce dernier gérant la politique des petites nations du monde. les responsabilités sont diluées dans une tambouille administrative ou personne n’est coupable et où tout le monde s’en met plein les poches.

Article 23 – b – c « La coopération appuie les réformes politiques et institutionnelles durables et les investissements nécessaires à l’accès équitable aux activités économiques et aux ressources productives, en particulier:[…] b) le capital, le crédit et la terre, notamment, en ce qui concerne les droits de propriété et d’exploitation; c) l’élaboration de stratégies rurales visant à établir un cadre pour la planification décentralisée, la répartition et la gestion des ressources. »

Ça aussi c’est beau, non ? spéculation foncière, décentralisation, c’est-à-dire confiscation du pouvoir central au profit de petits potentats locaux serviles, accaparement des ressources naturelles… que du bon.

Le développement social

Là encore c’est bienvenu dans le monde des bisounours. « Qualité de l’éducation […] accès équitable à des services de soins complets et de qualité […] lutte contre le VIH […] améliorer l’accès à l’eau potable […] construction de logements sociaux » et patati et patata. Tout va bien dans le meilleur des mondes grâce aux accords de Cotonou. On se demande se qu’ils faisaient avant cet accord… Tout cela ressemble à un énorme shaker où l’on aurait mis toutes les promesses non tenues par nos politiques depuis 50 ans et qu’on nous les balançait tous à la tronche en même temps. S’ils n’ont pas pu le faire avant, ce n’est surement pas cette usine à gaz qui y parviendra.

Coopération et Intégration Régionale

Article 28 « Intégration graduelle des États ACP dans l’économie mondiale […] Coordination et harmonisation des politiques régionales et sous-régionales […] La coopération appuie également les projets aux niveaux interrégionaux et intra-ACP impliquant, par exemple une ou plusieurs organisations régionales ACP, y compris au niveau continental« 

Je crois qu’on avait déjà compris.

Changement climatique

Article 32A – d – vii « Promotion des sources d’énergie renouvelable et des technologies à faible émission de carbone qui privilégient le développement durable« 

Comme je l’avais montré , le réchauffement climatique est un hoax, et la technologie durable n’est qu’un moyen pour éviter le développement des pays sous-développés. A quand des hauts-fourneaux ou des trains qui fonctionnent avec des panneaux solaire ? Quelle bonne blague…

Coopération économique et commerciale

Article 34 – 1 « Le but ultime de la coopération économique et commerciale est de permettre aux États ACP de participer pleinement au commerce international. […] La coopération économique et commerciale doit leur permettre de répondre aux défis de la mondialisation et de s’adapter progressivement aux nouvelles conditions du commerce international, facilitant ainsi leur transition vers l’économie mondiale libéralisée.« 

Bon, c’est toujours bien de répéter au cas où on n’aurait pas compris…

Article 34 – 4 « La coopération économique et commerciale est mise en œuvre en parfaite conformité avec les dispositions de l’accord instituant l’Organisation mondiale du commerce (OMC)« 

On s’en doute bien, tout se tient…

Nouveaux accords commerciaux

Article 36 – 1 « Les parties conviennent de prendre toutes les mesures nécessaires pour conclure de nouveaux accords de partenariat économique compatibles avec les règles de l’OMC, en supprimant progressivement les entraves aux échanges entre elles« 

Voilà une règle qu’elle est bonne, la fameuse concurrence libre et non faussée ! Mettre en concurrence l’industrie allemande avec celle du Nigeria ou celle du Togo, est en effet une belle compétition… que le meilleur gagne !

Article 37 – 4 « Les négociations des accords de partenariat économique visent notamment à établir le calendrier de la suppression progressive des obstacles au commerce entre les parties, conformément aux règles de l’OMC en la matière. En ce qui concerne la Communauté, la libéralisation des échanges s’appuie sur l’acquis et visera à améliorer l’accès actuel des pays ACP au marché, notamment par le biais d’un réexamen des règles d’origine. […] Les négociations seront donc aussi flexibles que possible en ce qui concerne la fixation d’une période de transition d’une durée suffisante, la couverture finale des produits, en tenant compte des secteurs sensibles, et le degré d’asymétrie en termes de calendrier du démantèlement tarifaire.« 

Tout ne va pas être dépecé d’un seul coup, c’est la technique habituelle des petits pas… progressivement, de manière à ne pas braquer brutalement les populations mais à les affaiblir par un travail de sape sans jamais dépasser le seuil d’intolérance. Et pour ceux qui veulent faire du zèle dans la destruction de leur nation:

Article 37A -1 « Dans le contexte des orientations commerciales actuelles axées sur une libéralisation accrue des échanges, l’UE et les États ACP peuvent participer aux négociations et à la mise en œuvre d’accords visant à libéraliser davantage le commerce multilatéral et bilatéral.« 

Transport Maritime

Article 42 – 3 « Chaque partie accordera notamment un traitement non moins favorable que celui qu’elle accorde à ses propres navires, aux navires exploités par des ressortissants ou des sociétés de l’autre partie, et aux navires immatriculés sur le territoire de l’une des parties, en ce qui concerne l’accès aux ports, l’utilisation des Infrastructures et des services maritimes auxiliaires de ces ports, ainsi que les redevances et charges qui y sont liées, les facilités douanières, les postes d’arrimage et les Installations de chargement et déchargement. »

On se demande dès lors pour quelles raisons des armateurs continueraient de battre pavillon national, puisque ayant les mêmes facilités il leur sera dès lors beaucoup rentable de naviguer sous le pavillon des nations les moins regardantes en terme de salaire de l’équipage ou de respect de la nature. C’est du dumping social et écologique pur et dur.

AGSC (Accord Général Sur le commerce des Services)

Article 43 – 2 « [Les parties] reconfirment donc leurs engagements respectifs dans le cadre des accords multilatéraux existants, notamment le protocole sur les services de télécommunications de base joint à AGCS, et invitent les pays ACP qui n’ont pas encore adhéré à ces accords à le faire.« 

L’AGSC, vous ne connaissez pas ? C’est un accord multilatéral de libéralisation des échanges de services, signé à Marrakech en 1994 et qui institua l’OMC. D’après wiki: « L’AGCS oblige les États à créer un environnement compétitif entre entreprises publiques et privées : en pratique, cela se traduit soit par une diminution des subventions aux premières, soit par l’aménagement d’aides particulières pour les entreprises privées. Les subventions au niveau des communes sont aussi visées par l’AGCS. » Aujourd’hui plusieurs collectivités (bien peu) dans le monde se sont constitués « Zone Hors AGCS« .

Politique de concurrence

Article 45 – 2 « Pour assurer l’élimination des distorsions de concurrence et en tenant dûment compte des différents niveaux de développement et des besoins économiques de chaque pays ACP, elles s’engagent à mettre en œuvre des règles et des politiques nationales ou régionales comprenant la surveillance et, dans certaines conditions, l’interdiction d’accords entre entreprises, de décisions d’associations d’entreprises et de pratiques concertées entre entreprises [qui] ont pour objet ou pour effet d’empêcher, de restreindre ou de fausser le jeu de la concurrence.« 

Cet article est magnifique de cynisme: pour prendre en compte la moindre compétitivité des industries des pays ACP, que doit on faire ? Supprimer tout obstacle à une libre concurrence ! C’est l’aveu clair et net d’une volonté de destruction de toutes les infrastructures productives de ces petits pays.

Protection des droits de propriété intellectuelle

Article 46- 5 « Aux fins du présent accord, les droits de propriété intellectuelle couvrent en particulier […] les brevets, y compris les brevets concernant les inventions biotechnologiques et les espèces végétales. »

Dans la même logique qu’ici, nous allons imposer les brevets pour le vivant aux autres pays du monde… révoltant.

Normalisation et certification

Article 47 -1 « [Les parties] réaffirment leur engagement en vertu de l’accord sur les obstacles techniques au commerce, annexé à l’accord instituant l’OMC (accord OTC). » Article 47 -2  « elles réaffirment leurs engagements en vertu de l’accord sur l’application des mesures sanitaires et phytosanitaires, annexé à l’accord instituant l’OMC (accord SPS). »

Ce projet peut sembler louable, mais il n’en est rien. Que toutes les nations adoptent les mêmes certifications, pourquoi pas… à condition de savoir par qui sont établis ces certifications. Or dans le cas présent, toute certification internationale est l’œuvre de lobbies auprès des instances dirigeantes dans le but de vendre de la merde à moindre prix et jamais dans l’intérêt des consommateurs.

Commerce et environnement

Après de nombreux blabla sur la nécessité de préserver l’environnement et la « gestion saine et durable de l’environnement« , c’est la douche froide:

Article 49 – 3 « Les parties conviennent que les mesures environnementales ne doivent pas être utilisées à des fins protectionnistes. »

N’importe qui pourra donc invoquer cet article pour faire plier la réglementation en place. C’est exactement l’esprit de la directive du juif Bolkestein.

 

Commerce et norme du travail

Article 50 – 3 « Les parties conviennent que les normes de travail ne doivent pas être utilisées à des fins de protectionnisme »

Idem en tout point au paragraphe précédent.

 

Nature des financements

Article 61 – 2 « L’aide budgétaire directe en appui des réformes macroéconomiques ou sectorielles est accordée lorsque: […] b) des politiques macroéconomiques de stabilité bien définies, établies par le pays et évaluées positivement par ses principaux bailleurs de fonds, y compris, le cas échéant, les institutions financières internationales, ont été mises en place ou sont encours de mise en œuvre.« 

On connait la technique notamment illustré par le FMI: on vous file de la thune à condition que vous appliquiez nos réformes ultra-libérales de privatisation massives des services de bien commun… voir le cas de la Grèce.

esclavage financier et souverainete monetaire

Esclave financier ou Souveraineté monétaire (2012)
(Enquête en Français)
32 pages 125×210 Version Papier
Non, la Crise n’est pas fortuite elle est organisée, par un ramassis de gangsters. La France et 55 autres pays ont été enfermés dans un véritable GOULAG monétaire économique et financier. Les populations de ces pays travaillent sans relâche à l’alimentation d’une pompe à Phynances au débit de plus en plus important. Nos ennemis dans cette guerre ne sont en fait, qu’un « Ramassis de Gangsters », des « Suceurs de Sang » qui fonctionnent comme un « Syndicat du Crime », organisé en « Cartel de Banques » ! Le vrai drame est que les plus serviles « collabos » de ce Cartel sont nos vénaux hommes politiques et grands commis de l’Etat.

 

Le remboursement ad vitam aeternam de la dette

Un autre aspect de cet accord est l’optimisation du remboursement des dettes faite aux usuriers apatrides qui vivent de la rente sur le dos des travailleurs dont les efforts ne visent à terme que le remboursement d’une dette jamais remboursée. C’est le travail gratuit ou plus clairement l’esclavage. Cette dette, épée de Damoclès politique et levier permettant la soumission totale des nations doit être calculée de manière à optimiser les remboursements, au besoin par une suppression d’une partie de celle-ci.

Article 66 – 1 « En vue d’alléger la charge de la dette des États ACP et d’atténuer leurs problèmes de balance des paiements, les parties conviennent d’utiliser les ressources prévues par le cadre financier pluriannuel de coopération au titre du présent accord pour contribuer à des initiatives de réduction de la dette approuvées au niveau international, au bénéfice des pays ACP. »

Article 66 – 2 « La Communauté peut accorder, à la demande d’un État ACP: a) une assistance pour étudier et trouver des solutions concrètes à l’endettement, y compris la dette interne, aux difficultés du service de la dette et aux problèmes de balance des paiements; b) une formation en matière de gestion de la dette et de négociation financière internationale ainsi qu’une aide pour des ateliers, cours et séminaires de formation dans ces domaines; et c) une aide pour mettre au point des techniques et instruments souples de gestion de la dette. »

Article 66 – 3 « Afin de contribuer à l’exécution du service de la dette… »

L’ajustement structurel

Il faut à tout prit éviter un soulèvement populaire, les peuples doivent être cuisinés à petit feu… on l’a déjà vu plus haut, ici c’est confirmé: la dépossession des peuples de leurs biens et l’intégration des nations dans la gouvernance globale doit se faire en douceur.

Article 67- 1 « Les parties veillent à ce que l’ajustement soit économiquement viable et socialement et politiquement supportable. »

Article 67 – 2 « L’appui à l’ajustement structurel vise aussi à: a) Intégrer, dès le début du diagnostic, les mesures propres à favoriser l’intégration régionale et à prendre en compte les effets des ajustements transfrontaliers; b) appuyer l’harmonisation et la coordination des politiques macro-économiques et sectorielles, y compris dans le domaine fiscal et douanier, en vue d’atteindre le double objectif d’Intégration régionale et de réforme structurelle au niveau national. »

 

Promouvoir les investissements privés

A table ! Le démembrement des nations doit être une grande fête pour toutes les fortunes du monde désireuses de faire fructifier leurs pactoles. C’est le bal des vautours pour qui les dignitaires du régime ont déroulé le tapis rouge.

Article 75 « Reconnaissant l’importance des investissements privés pour la promotion de leur coopération au développement et la nécessité de prendre des mesures pour stimuler ces investissements, les États ACP, la Communauté et ses États membres, dans le cadre du présent accord […] facilitent des partenariats et des sociétés mixtes en encourageant le cofinancement, parrainent des forums sectoriels d’investissement en vue de promouvoir les partenariats et les investissements étrangers. […]diffusent des informations sur les opportunités d’investissement et les conditions dans lesquelles opèrent les entreprises dans les États ACP. »

L’intervention des assurances étatiques et régionales

Évidemment, pour être sûr du jackpot, il faut assurer les investisseurs d’un rendement sécurisé. Au cas où les peuples se rebiffent, la finance apatride doit pouvoir assurer ses arrières… sait-on jamais. Dans ce cas, ce seront les peuples soumis qui paieront pour ceux qui se révoltent.

Article 77 – 2 « La coopération offre des garanties et contribue par des Fonds de garantie [soutenu par l’ensemble des nations] à couvrir les risques liés à des investissements éligibles. La coopération apporte plus précisément un soutien à des régimes de réassurance destinés à couvrir l’investissement direct étranger réalisé par des investisseurs éligibles contre les insécurités juridiques et les principaux risques d’expropriation, de restriction de transfert de devises, de guerre et de troubles civils, ainsi que de rupture de contrat. […] Des programmes de garantie visant à couvrir le risque au moyen de garanties partielles d’emprunt. Des garanties partielles sont offertes tant pour le risque politique [révolte] que pour le risque de crédit [défaut de paiement des peuples comme en Islande]. […] des fonds de garantie nationaux et régionaux. »

Conclusion

Il est temps de reprendre les rênes du pouvoir et de mettre toute cette merde aux ordures.

Remarque, ce document officiel est une traduction pitoyable de l’anglais. Le traducteur doit s’appeler Google translate, des paragraphes entiers sont restés en anglais, des tournures de phrases sont approximatives… Bref un travail bâclé qui indique bien qu’il s’agit là d’une grosse bouffonnerie avec des pages et des pages de bons sentiments dégoulinants qui ne seront jamais appliqués, contrairement à la razzia bien réelle faite sur les biens publiques et les infrastructures de ces petits pays.

Voir aussi:

L’objectif des anti-sionistes à travers deux exemples

1- Le printemps des sayanim- Jacob Cohen

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J’avais déjà parlé ici du livre de Jacob Cohen dans des termes assez élogieux. Après lecture, on peut dire que c’est un ouvrage léger, facile à lire, qui se veut être à destination d’une population peut habituée à la lecture (c’est assez enfantin) et de préférence issue de l’immigration. Certes, comme je l’avais spécifié, ce récit (dont on ne sait pas quelle est la partie fiction, ni la partie authentique) dénonce véhément la collusion toute puissante en France pour la sauvegarde sans concession des intérêts d’Israël d’abord et avant tout. Mais après réflexion, on s’aperçoit que cet ouvrage distille aussi en son sein une idéologie très à la mode: le multiculturalisme, le métissage, la ringardise du mariage, etc. Pour illustrer mes propos, je vous invite à méditer ces quelques extraits:

  • Une des protagoniste blanche aux cheveux blonds et d’ascendance juive fréquente un arabe. Elle sourit en son fort intérieur devant la stupidité des réflexions qu’elle pourrait entendre:

« C’est surtout le marché du jeudi qui lui fit découvrir le quartier. Les commerces exotiques et la diversité des habitants. La symbiose apparente. L’absence d’agressivité. Et des ruelles d’un charme désuet. Même sa blondeur semblait se fondre dans ce paysage éminemment coloré. Maintenant elle s’amusait des expression ahuries, des interrogations muettes ou euphémiques, sur cette partie du vingtième [arrondissement] où elle se rendait parfois seule le soir. « Quelle inconscience! » devaient penser amis ou collègues. « Tout ça pour un arabe! » auraient pu ajouter d’autres. Elle ne leur en voulait pas spécialement, on n’échappe pas facilement à sa condition. »

Les français sont donc des crétins repliés sur eux-mêmes, fermés à un monde de beauté, pacifique et accueillant… C’est vrai que le marché donne envie… faut vraiment être un pauvre type pour ne pas y voir la beauté du monde qui frappe à notre porte.

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  • Sur le terrible danger de l’attachement (brrr)

« L’approche de la trentaine n’y changeait rien. Elle n’avait jamais commis l’irréparable: lier son sort à celui d’un homme. »

Ouf, on respire…

  • Anti-sioniste, oui, mais faut pas pousser:

« Certaines choses avaient une résonance terrifiante. La famille de son père avait souffert de l’holocauste. L’antisémitisme était une chose abjecte. »

Puisqu’on vous le dit…

  • Anti-sioniste, oui, mais quand même victime:

« A une époque où les juifs comptaient leurs amis, et où les médias s’acharnaient sur Israël »

C’est vrai que cette campagne médiatique anti-Israël est vraiment omniprésente…

  • Les français d’origine étrangère doivent se désassimiler et retrouver leur valeurs qui ne sont pas celles de la France corrompue, et nous français devrions combattre nos « préjugés ».

« Youssef en djellaba ! Auparavant, cela l’aurait mortifiée. Maintenant elle en comprenait le sens. Et même, le vêtement en imposait. […] L’imaginaire autour des femmes voilées devenait soudain inepte. Elle se désolait d’un reste de préjugés. »

  • Porter le voile, c’est faire acte de résistance contre une France qui sent mauvais:

« – Ça ne doit pas être facile tous les jours [de porter le voile].
– Au début. Mais c’est une bonne école de résistance. Et j’ai presque autant de mal avec mes coreligionnaires [trop assimilées]. T’as bien vu.
– Et le travail ?
– Je suis avocate. Je travaille avec mon frère. Beaucoup viennent me consulter parce que je suis pratiquante. Mon boulot est comme une mission pour aider les gens. Le chemin est long pour abolir les discriminations. »

  • La franc-maçonnerie est la route vers le bonheur, mais fut détourné de sa mission première par les sionistes qui ont noyauté le mouvement:

« Il embrassa d’un regard ému le grand hall. toute préoccupation passait au second plan. Il avait conscience de pénétrer dans le panthéon de la franc-maçonnerie française. Ce n’était rien de moins que le siège du Grand Orient, défenseur de la République et de ses idéaux. […] La franc-maçonnerie avait un sens. On appartenait à une grande famille. Les différences étaient transcendées dans l’idéal commun. Un sentiment de fraternité unissait spontanément des maçons inconnus [ça on veut bien le croire] […] La morale maçonnique triomphera de toutes les manipulations ».

2- Comment le peuple juif fut inventé ? – Shlomo Sand

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Là, on passe dans un ouvrage beaucoup plus technique qui se veut universitaire, bourré de références, écrit tout en nuances et en périphrases. L’auteur y explique que le peuple juif est une construction artificielle, que l’Etat hébreu est bâti sur une supercherie: celui de l’existence d’un peuple juif. Bon, je suis assez septique. Les juifs n’existeraient donc pas en tant que nation… Pour bien comprendre ce livre, il faut avoir à l’esprit que l’auteur ne s’en prend pas qu’au peuple juif. En fait, Shlomo Sand est un pur communiste révolutionnaire et internationaliste. S’il réprouve l’idée d’une nation juive c’est surtout parce qu’il réprouve l’idée de nation tout court. Pour lui, toute nation est un projet illusoire et mortifère, une invention qui repose sur des sables mouvants:

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D’ailleurs, il le dit lui même, la raison, au final, saura abattre l’hérésie nationale:

nation1nation2On notera au passage l’allusion faite à la chouette de Minerve dont la symbolique est clairement franc-maçonne. Pour rappel, c’est entre autre l’emblème du Bohemian Club

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Enfin, l’auteur nous parle de la construction européenne comme œuvrant à la destruction des nations. Il applaudie d’ailleurs chaleureusement ce noble objectif:

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Effectivement, la démocratie est un système défectueux. Cela ne fait aucun doute. Pourquoi ? Parce que cela prive les peuple d’une authentique souveraineté: le pouvoir est entre les mains des fortunes apatrides. D’ailleurs l’auteur ne s’en cache pas: tout comme la nation, l’idée de souveraineté est une hérésie:

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3- Conclusion

Les juifs anti-sionistes semblent avoir pris pour argent comptant l’idée marxiste qu’il faille abattre les nations et promouvoir un peuple planétaire métissé pour tous les individus. Ils n’ont pas compris que cette doctrine avait été réfléchie pour être exclusivement appliquée aux goyim. Dans un élan véritablement universaliste, ils refusent même aux leurs de conserver leur identité. Aveuglés par un dogme destructeur, ils veulent l’appliquer y compris aux membres de leur propre nation. Il ne luttent pas spécialement contre Israël, mais contre toute entité nationale, contre toute idée de peuple, d’ethnie, de race. On les apprécie pour leurs visions anti-sionistes, sans comprendre le véritable enjeux de leur pensée: si israël doit être abattu, c’est tout simplement parce que toute nation doit disparaître, y compris l’ultime bastion du peuple élu.

Enfin, sur l’anti-sionisme, il me semble que ce débat ne nous concerne pas vraiment et est importé sur notre territoire à nos dépends. Certes, nous ne pouvons pas rester indifférents devant les injustices commises dans cette partie du globe, mais enfin, notre priorité ne devrait-elle pas être les injustices commises envers notre propre peuple ?

Remarque, je n’ai abordé que le cas des juifs communisants, quand est-il des juifs orthodoxes pratiquants et anti-sionistes ? Je laisse la parole à frère Nathanael, qui explique son point de vue (que je partage entièrement).

Pour une critique positive – le vrai testament de Dominique Venner

Voilà le vrai testament politique que laissa Venner au début des années 60. Le texte est fortement influencé par les évènements du moment, à savoir, entre autre, la guerre d’Algérie. Si sur certains aspects il est daté, sur d’autres et par de nombreux aspect, ce texte est d’une actualité frappante. L’intégralité du texte peut être trouvé ici en fichier pdf. (C’est moi qui souligne dans le texte qui suit):

Venner

L’action entreprise depuis l’échec d’Avril 1961 [le « putsch des généraux« ] a mis en œuvre des moyens nouveaux. Elle a mobilisé un nombre accru de partisans et s’est résolument engagée dans la voie de la violence et de la clandestinité. Cette transformation des formes de lutte n’a cependant pas affecté des données de la méthode antérieurement appliquée. Elle est restée conforme aux caractéristiques des luttes « nationales », jalonnées d’actes de courage et d’échecs lamentables.

Lénine, prenant en 1917 les risques d’une défaite militaire afin de créer les conditions de la révolution bolchevique, ou encore Franco, marquant sa prise de commandement insurrectionnelle en 1936 par l’exécution de son propre cousin qui refusait de le suivre, sont deux exemples d’un comportement inverse de celui des « nationaux ». Par contre, le refus de porter réellement l’action en métropole le 22 avril 1961, comme le sanglante et inutile manifestation parisienne du 6 février 1934, sont typique de la mentalité « nationale ».

Défaut de conception

Les « nationaux » qui utilisèrent le mot « révolution » sans en connaître la signification, croient au « sursaut national » spontané ! Ils croient également que « l’armée bougera »… Confiants dans ces deux rêves irréalisables, considérés comme des remèdes-miracles, ils ne conçoivent pas la nécessité d’éduquer des partisans au moyen d’une doctrine juste expliquant les causes de la décadence occidentale, proposant une solution et servant de gouvernail à la pensée dans l’action. C’est pourquoi, ils se complaisent dans une série de maladies politiques qui sont responsables de leurs échecs. Confusion idéologique. Les « nationaux » s’attaquent aux effets du mal, pas à ses racines. Ils sont anticommunistes mais oublient que le capitalisme et les régimes libéraux sont les principaux artisans de la propagation du communisme. Ils étaient hostiles à la politique algérienne du gouvernement, mais oublient que cette politique était le produit d’un régime, de son idéologie, de ses intérêts, de ses maîtres réels financiers et technocrates, comme de ses structures politiques et économiques. Ils voulaient sauver l’Algérie française contre le régime, mais ils reprennent à leur compte ses principes et ses mythes. Imagine-t-on les premiers chrétiens adorant les idoles païennes et les communistes chantant les louanges du capitalisme ?

Conformisme

Tous les « nationaux » ont leur bon gaulliste, leur bon technocrate, leur bon ministre. Cédant à un vieux réflexe bourgeois, ils redoutent « l’aventure » et le « chaos ». Pour peu qu’un homme du régime agite le drapeau, ils lui donnent
leur confiance. Ils préfèrent le confort de l’aveuglement à la lucidité. Le sentimentalisme et l’esprit de clocher prennent toujours le pas sur le raisonnement politique. Dans l’espoir niais de satisfaire tout le monde, ils se refusent à prendre parti et ne satisfont personne.

Archaïsme

Faute d’imagination, les « nationaux » continuent à emboucher le clairon de Déroudèle qui n’ameute plus personne. Programme et slogans sont fixés dans le tricolore d’avant-guerre. De l’armée au pouvoir à l’anticommunisme négatif, en passant par la contre-révolution et le corporatisme, les « formules nationales » repoussent plus qu’elles ne séduisent. Cet arsenal politique date d’un demi-siècle. Il est sans prise sur notre peuple.

Défaut d’Organisation

Les raisons qui poussent les « nationaux » à nier la nécessité des idéesdans le combat politique, les poussent à nier la nécessité de l’organisation. Leur action est viciée par des tares qui expliquent tous leurs effondrements.

Opportunisme

Les notables « nationaux », parlementaires et autres, militaires et civile, sont opportunistes par ambition personnelle. Le prétexte généralement invoqué pour camoufler leur arrivisme est celui de l’ « habileté ». C’est au nom de l’habileté que les « nationaux » ont cautionné… le référendum de 1958, les entreprises de politiciens depuis lors. Derrière chacune de ces positions se dessinait la perspective d’un ruban, d’une sinécure ou d’une élection. Ils sentent le vent et savent se faire violents, voire même séditieux quand cela leur apparaît profitable. Leurs discours fracassants ne font peur à personne. Ils attaquent un  homme, un gouvernement et se gardent bien de toucher à l’essentiel et de s’en prendre au régime lui-même. L’Algérie fut un bon tremplin et une occasion de faire fortune grâce aux subsides généreusement dispensés, tandis que les militants devaient combattre les mains nues. Si le vent tourne, ils n’hésitent pas à trahir leur drapeau et leurs camarades. Le siège au parlement n’est pas un moyen mais une fin en soi ; il doit être conservé à tout prix. Les simples partisans, eux, sont opportunistes par défaut de doctrine et de formation. Ils se fient à la mine du beau parleur et aux impressions superficielles plutôt qu’à l’analyse politique des idées et des faits, ils sont voués à être dupés.

Mythomanie

La lecture des romans d’espionnage, les souvenirs de la résistance et autres services spéciaux, le récit des comploteurs, gaullistes et autres, plongent les « nationaux » dans une atmosphère de rêve permanent. Un bridge avec un général en retraite, un parlementaire ou un sergent de réserve devient une sombre et puissante conjuration. Pour peu que l’on recrute dix lycéens, on se prend pour Mussolini. Quand on se vante de commander à 5000 hommes structurés, c’est que l’on rassemble péniblement quelques centaines de fonds de tiroir. Si, par chance, ils reçoivent une circulaire d’une quelconque administration militaire, ils montrent l’enveloppe avec des airs de conspirateurs, des souris et des silences lourds de sous-entendus. Ils sont partisans de l’union autour d’eux et se répandent en amères reproches de sectarisme à l’encontre des militants qui se refusent à les prendre au sérieux. Les mêmes « nationaux » dans une période de véritables clandestins, se font arrêter avec des listes d’adresses et de documents, se mettent à table dès que la police lève la voix.

Terrorisme

La fausse analyse d’une situation, l’absence de doctrine et de formation qui poussent les uns vers l’opportunisme, jettent les autres dans la violence négative et le terrorisme. La mauvaise digestion des études par trop primaires, consacrées à certains aspects de la subversion communiste du F.L.N., a accru ce penchant. Les pétards sous les fenêtres des concierges n’ont pas apporté un seul partisan à l’Algérie française. Le terrorisme aveugle est le meilleur moyen pour se couper d’une population. C’est un acte désespéré. Autant l’action clandestine et l’utilisation calculée de la force peuvent être indispensables lorsqu’une nation n’a plus d’autres moyens pour rentrer dans son droit, et dans ce cas l’action vise à faire participer le peuple à la lutte, autant le terrorisme rejette celui qui l’emploi hors de la communauté populaire et le condamne à l’échec.

Anarchisme

Les « nationaux » qui admirent tant la discipline chez les autres sont, en pratique, de véritables anarchistes. Incapables de se situer à leur place dans la lutte, ils ont le goût de l’action désordonnée. Leur vanité les pousse aux actes individuels gratuits, leur cause dût-elle en pâtir. Ils ignorent la parole donnée et nul ne peut prévoir où les entraînera leur fantaisie. Ils suivent à la rigueur un chef de bande et s’épanouissent dans les petits clans. L’absence de référence idéologique commune accroît leur éparpillement et interdit leur unité.

Pour une nouvelle théorie révolutionnaire

Avant de songer à définir quoi que ce soit de constructif, cette critique des tares « nationales » est indispensable. Certains, par manque de maturité politique, pourront ne pas la comprendre. Ceux qui ont tiré les leçons de leur propre expérience en ont admis au contraire la nécessité. La révolution n’est pas l’acte de la violence qui parfois accompagne une destitution de pouvoir. Ce n’est pas non plus un simple changement d’institutions ou de clan politique. La révolution est moins la prise du pouvoir que son utilisation pour la construction de la nouvelle société. Cette tâche immense ne peut être envisagée dans le désordre des esprits et des actes. Elle nécessite un vaste outil de travail de préparation et de formation. Le combat « national » s’enlise dans des ornières vieilles d’un demi-siècle. Avant toute chose, une nouvelle théorie révolutionnaire doit être élaborée.

Il n’y a pas de révolution spontanée

Il est toujours possible d’agir, il est moins facile de réussir. Surtout dans une lutte révolutionnaire, combat à mort contre un adversaire tout-puissant, madré, expérimenté, qu’il faut combattre plus par les idées et l’astuce que par la force. Il est cependant fréquent d’entendre opposer l’action et la pensée. C’est croire à la spontanéité de l’action révolutionnaire. Et l’on cite comme exemple la révolution fasciste en Italie. On oublie qu’à la formation des « fascios » en 1915 Mussolini combattait depuis plus de douze ans comme agitateur et journaliste. On oublie surtout les conditions de la lutte en Italie après l’armistice de 1918 qui n’avaient rien à voir avec celles de la France d’aujourd’hui. En Italie comme dans d’autres Nations européennes, le pouvoir d’Etat était d’une extrême faiblesse, bien incapable d’imposer sa loi aux factions armées qui se disputaient le pays. L’Etat devait traiter tour à tour avec de véritables armées politiques. En octobre 1922, l’armée des « chemises noires » pesa un peu plus lourd et s’empara de l’Etat. Aujourd’hui, les « régimes libéraux » d’Occident sont caractérisés par une caste nombreuse de privilégiés, agents des groupes financiers, qui détiennent l’ensemble des leviers politiques, administratifs, économiques et sont unis par une étroite complicité. Ils s’appuient sur un gigantesque appareil administratif qui encadre rigoureusement la population, tout spécialement grâce aux réglementations sociales. Ils détiennent le monopole du pouvoir politique et du pouvoir économique. Ils contrôlent la presque totalité des moyens d’information et sont maîtres des esprits. Ils se défendent grâce à d’innombrables forces de police. Ils ont transformé les citoyens en moutons dociles. Seules, les oppositions fictives sont tolérées.

A la fin de la première guerre mondiale, la révolution communiste était une menace immédiate pour toute l’Europe. Le danger détermine toujours un mouvement de défense: les mouvements fascistes en profitèrent. Seule force capable de s’opposer à la violence des rouges, le fascisme reçut de puissants appuis et l’adhésion massive de partisans. Aujourd’hui, le « soir du grand soir », les soviets d’usine, les tchékas appartiennent au passé. Les communistes d’Occident se sont embourgeoisés, ils font partie du décor, ils sont les plus fermes défenseurs du régime. L’homme-au-couteau-entre-les-dents n’est plus le communiste mais l’activiste.

Quant à la Russie, les capitalistes y voient un nouveau marché. Au contraire de la première moitié du vingtième siècle, la satisfaction des besoins matériels élémentaires semble à portée de main de tous. Les soupes populaires, les grèves sauvages sont oubliées. Hormis quelques catégories minoritaires menacées, la grande masse des salariés est convaincus d’avoir plus à perdre qu’à gagner à vouloir arracher par la violence ce que les revendications pacifiques et le temps lui donneront inéluctablement. Le carcan des lois sociales et le chantage au crédit font le reste pour lui retirer toute combativité. Le sens de l’intérêt général, le courage civique et politique sont aujourd’hui le fait d’une très petite minorité, injuriée, dont on a limité systématiquement les moyens d’expression  égaux. Cela nous éloigne fort de l’Italie des années 20. Le génie personnel de Mussolini pouvait suffire à grouper une masse passionnée, disponible, et à conquérir un Etat incapable de se défendre. Telle n’est plus la situation en Europe et en France. Puisque la puissance appartient à l’adversaire, il faut une ruse supérieure. Puisque le « grand homme » (inexistant d’ailleurs) s’est par trop déprécié, il faut miser sur l’équipe. Qualité des combattants, combat méthodique et raisonné, direction collégiale, imposent : enseignement, doctrine.

Depuis 1947, l’armée française engagée à défendre les terroristes d’outremer, est victorieuse, sur le terrain et contrainte aux capitulations successives par l’ensemble des forces politiques et économiques qui constitue le régime. Il a fallu attendre le mois d’Avril 1961, quatorze années, pour qu’un nombre infime de cadres entrevoient leur véritable ennemi. Un ennemi qui se trouvait moins sur le terrain, sous l’aspect du Viet ou du fellagha, qu’en France même, dans les conseils d’administration, les banques, les salles de rédaction, les assemblées et les bureaux ministériels. Encore ce sentiment hostile à une mythique Métropole décadente qu’à la réalité du régime. Cette prise de conscience limitée fut sans lendemain.

Pour vaincre, il faut comprendre ce qu’est le régime, découvrir ses méthodes, débusquer ses complices, ceux qui se camouflent en patriotes. Il faut se déterminer les solutions positives qui permettront de construire la société de demain. Cela nécessite un total retour sur soi-même, une totale révision des vérités apprises, une conscience révolutionnaire.

La conscience révolutionnaire

Rien n’est moins spontané que la conscience révolutionnaire. Le révolutionnaire est entièrement conscient de la lutte engagée entre le Nationalisme, porteur des valeurs créatrices et spirituelles de l’Occident et le Matérialisme sous ses formes libérales ou marxistes. Il est libéré des préjugés des préjugés, des contre-vérités et des réflexes conditionnés par lesquels le régime se défend. L’éducation politique qui permet de s’en affranchir s’acquiert par expérience personnelle, bien sûr, mais surtout à l’aide de l’enseignement que seule l’étude permet de dégager. Sans cette éducation, l’homme le plus courageux, le plus audacieux, n’est plus qu’une marionnette manipulée par le régime. Au gré des circonstances celui-ci tire les ficelles qui régleront son comportement. Ficelle patriotique, anticommunisme aveugle, menace fasciste, légalisme, unité de l’armée, etc.. Par une propagande permanente à sens unique, à laquelle chacun est soumis dès l’enfance, le régime, sous ses multiples aspects, a progressivement intoxiqué les Français. Toutes les nations à direction démocratique en sont là. Tout esprit critique, toute pensée personnelle sont détruits. Il suffit que soient prononcés les mots-clefs pour déclencher le réflexe conditionné prévu et supprimer tout raisonnement. La spontanéité laisse subsister le réflexe conditionné. Elle ne conduit qu’à la révolte, si facile à désamorcer ou à détourner par quelques concessions de surface, quelque os à ronger ou quelques changements de décor. Ainsi fut-il maintes fois avec les Français d’Algérie, l’armée et les « nationaux ».

Devant un danger vital, il est possible de dresser un front de défense. La résistance à la fin de la dernière guerre et l’O.A.S. en sont des exemples. L’issue du combat était une question de vie ou de mort ; la lutte physique contre la force physique de l’adversaire visible peut être totale, sans pitié. A supposer que la révolte triomphe, dès que le péril semble conjuré, le front explose en multiples clans, tandis que la masse des partisans, n’ayant plus de raisons de combattre, retourne à ses tâches familières, se démobilise et confie de nouveau la cité sauvée à ceux qui l’avaient perdue. La France et l’Europe doivent accomplir leur révolution nationaliste pour survivre. Des changements superficiels n’atteindraient pas le mal. Rien ne sera fait tant que les germes du régime ne seront pas extirpés jusqu’à la dernière racine. Pour cela, il faut détruire son organisation politique, abattre ses idoles et ses dogmes, éliminer ses maîtres officiels et occultes, montrer au peuple combien on l’a trompé, exploité, souillé. Enfin, reconstruire. Non sur des constructions de papier mais sur une élite jeune et révolutionnaire, pénétré d’une nouvelle conception du monde. L’action qui doit imposer cette révolution peut-elle se concevoir sans la direction d’une doctrine révolutionnaire ? Certainement non. Comment s’opposer à un adversaire armé d’une dialectique éprouvée, riche d’une longue expérience, puissamment organisé, sans idéologie, sansméthode ?

Sans doctrine révolutionnaire, pas de révolution possible !

Même lorsqu’elle revêt des formes militaires, la lutte révolutionnaire est avant tout psychologique. Comment la conduire, comment convertir, enthousiasmer de nouveaux partisans sans une définition claire de l’idéologie nouvelle, sans doctrine ? Une doctrine comprise, non comme un ensemble d’abstractions, mais comme un gouvernail pour la pensée et l’action. Maintenir le moral offensif de ses propres partisans, communiquer ses convictions aux hésitants sont deux conditions indispensables au développement du Nationalisme. La preuve est faite que dans l’action ou en prison, quand la démoralisation guette, quand l’adversaire semble triompher, les militants éduqués, dont la pensée cohérente soutient la foi, ont une force de résistance supérieure.

Une nouvelle élaboration doctrinale est la seule réponse au fractionnement infini des activistes. Il n’y a pas à revenir sur la valeur unificatrice de l’action. Elle est évidente. Mais cette unification ne peut être durable et utile sans unification idéologique autour d’une doctrine juste. Le rédacteur de « France-Observateur », le fonctionnaire de la S.F.I.O., le communiste ont en commun une même idéologie : le marxisme. Leur référence doctrinale est donc la même, leur conception du monde est semblable. Les mots qu’ils emploient ont la même signification. Ils appartiennent à la même famille. Malgré leurs divisions profondes dans l’action, ils concourent tous à imposer la même idéologie. Il n’en va pas de même dans l’opposition nationale. Les activistes ne se reconnaissent pas d’ancêtres communs. Les uns sont fascisants, les autres maurassiens, certains se disent intégristes et chacune des catégories enferme maintes variantes. Leur seule unité est négative: anticommunisme, antigaullisme. Ils ne se comprennent pas entre eux. Les mots qu’ils emploient – révolution, contrerévolution, nationalisme, Europe, etc.. – ont des sens différents, voire opposés. Comment ne se heurteraient-ils pas ? Comment affirmeraient-ils une même idéologie ? L’unité révolutionnaire est impossible sans unité de doctrine.

L’oeuvre de Marx est immense, illisible et confuse. Il a fallu Lénine pour en tirer un corps de doctrine clair et pour transformer cet énorme fatras en arme efficace de guerre politique. Le Nationalisme a derrière lui son Marx collectif, tout aussi confus et inadapté que le compagnon d’Engels pouvait l’être pour la Russie de 1903. Il faut d’urgence faire de Lénine collectif. Le Nationalisme est héritier d’une pensée infiniment riche, mais trop diverse, incomplète et entachée d’archaïsme. Le temps est venu d’en faire la synthèse et de lui apporter les compléments, les correctifs imposés par l’éclosion de nouveaux problèmes. Telle étude documentée sur la Haute Finance, telle sur les Doctrines du Nationalisme, constituent d’excellentes approches qui répondent à ce besoin.

Les causes qui précipitèrent, à la fin du XIXème siècle, la naissance du Nationalisme en tant qu’idéologie politique (et non au sens étroit de la simple prise de conscience nationale), n’ont guère varié depuis lors. Le Nationalisme est né de la critique de la société libérale au XIXème siècle. Par la suite, il s’est opposé au marxisme, enfant naturel du libéralisme. Venant après les contre-encyclopédistes, après les positivistes, après Taine, Benan, dont une partie de l’enseignement subsiste dans le Nationalisme, Drumont et Barrès ont tracé les caractères permanents de cette idéologie à laquelle Charles Maurras, José-Antonio, Robert Brasillach, Alxis Carrel et tant d’autres en Europe, donnèrent la collaboration de leur génie propre. Fondé sur une conception héroïque de l’existence, le Nationalisme, qui est un retour aux sources de communauté populaire, entend créer de nouveaux rapports sociaux sur une base communautaire et bâtir un ordre politique sur la hiérarchie du mérite et de la valeur. Dépouillé de l’enveloppe étroite imposée par une époque, le Nationalisme est devenu une nouvelle philosophie politique. Européen dans ses conceptions et ses perspectives, il apporte une solution universelle aux problèmes posés à l’homme par la révolution technique.

Perspectives nationalistes

La passivité de l’opinion et la lâcheté des élites traditionnelles devant les évènements d’Algérie ont ouvert les yeux à tous les hommes capables de réflexion. Souvent au prix de révisions pénibles, de rupture avec leurs convictions passées, ils se regroupent autour d’une nouvelle définition du Nationalisme. Ce n’est pas le lieu ici de tenter un essai doctrinal. Etudes et confrontations seront nécessaires. Il est cependant possible de tracer les propositions fondamentales.

Critique du libéralisme et du marxisme

Le libéralisme a pu séduire, un temps, par une apparence de générosité. La réalité a dissipé ce rêve. Cette idée morte est aujourd’hui le camouflage de la dictature hypocrite du capitalisme international étendu sur toutes les démocraties d’Occident. L’oligarchie capitaliste est née à la fin du XVIIIème siècle. Les idées libérales qui se répandirent à l’époque en France servirent de justification aux intérêts conjugués de la haute aristocratie et l’argent pour s’opposer à l’autorité du pouvoir central qui les tenait depuis longtemps en lisière. Cette lutte des gros intérêts contre le pouvoir populaire (en l’espèce la monarchie française) se retrouve avec constance au cours des âges. Dans les sociétés organisées, une fois dépouillée l’enveloppe institutionnelle à forme monarchique ou républicaine qui cache la réalité, on discerne deux types principaux de pouvoir : le premier s’appuie sur le peuple pour contenir les gros intérêts, féodaux ou financiers, le second est aux mains des gros intérêts pour exploiter le peuple. Le premier s’identifie à la communauté populaire et devient le serviteur de son destin, le second assujettit la communauté populaire pour la seule satisfaction de ses appétits.

Les démocraties modernes, qui appartiennent au second type suivirent l’évolution du capitalisme dont elles n’étaient que l’émanation politique. Le capitalisme ayant perdu sa forme personnelle et nationale pour devenir financier et apatride, les démocraties passèrent sous le contrôle des groupes financiers internationaux. Les quelques divergences qui subsistaient entre ces derniers cessèrent dès qu’apparaît la menace d’un réveil populaire. Si le mensonge et la ruse où ils sont passés maître se révèlent insuffisants, ils emploient les armes les plus meurtrières, les contraintes les plus violentes. Ils n’ont jamais reculé devant le génocide, les bombardements atomiques, les camps de concentration, les tortures et le viol psychologique.

L’oligarchie capitaliste est indifférente au sort des communautés nationales. Son but est de satisfaire une insatiable volonté de puissance par la domination économique du monde. Les hommes et les civilisations se voient sacrifiées à ses desseins purement matérialistes qui rejoignent ceux des marxistes. Pour les technocrates comme pour les communistes, l’homme est un animal économique doté de deux fonctions : produire et consommer. Ce que ne mesure pas une règle à calcul est classé dans le superflu. Ce superflu doit donc être soumis à l’essentiel : le rendement économique. Les tendances individualistes, qui sont une gêne pour l’édification et l’application des plans, doivent disparaître. Dans les sociétés matérialistes il n’y a de place que pour les masses parfaitement dociles, homogènes [c’est-à-dire métissées], normalisées. Ceux qui n’acceptent pas le conditionnement des esprits et la castration de la masse sont affublés du nom de « fascistes ». Mettre en doute la sincérité des maîtres de l’opinion en démocratie ou relever les contradictions de la « ligne » en régime communiste, refuser de comparer la culture occidentale aux vagissements préhistoriques de la négritude ou à la décomposition morbide d’un certain modernisme, mépriser la « conscience universelle », sourire à l’évocation du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes sont les preuves d’un esprit malsain et rebelle. Rébellion qui conduit à l’élimination physique en régime communiste et à l’élimination sociale en régime libéral. Ainsi, l’un et l’autre détruisent-ils, avec l’individualisme créateur et l’enracinement populaire, l’essence même de l’homme et de sa communauté. Ils engagent l’humanité dans une impasse, dans la pire des régressions.

L’histoire des hommes n’est qu’un long effort pour s’affranchir des lois de la matière. L’extase mythique, l’art, la science, les règles éthiques sont autant de conquête de l’esprit et de la volonté humaine. La permanence de ces victoires a donné naissances aux civilisations. Créations arbitraires de la sensibilité, de l’intelligence et de l’énergie des peuples, les civilisations se développent et s’épurent pour autant qu’elles conservent leur pouvoir créateur. Les peuples qui leur ont donné naissance perdent la force de se défendre contre les assauts extérieurs, que disparaissent leurs vertus originelles, leur énergie vitale, et la civilisation disparaît à son tour dans l’anéantissement ou la décadence.

Tel est le terme logique où conduit l’exploitation de l’homme par la caste des technocrates ou par la « nouvelle classe dirigeante ». Ces deux forces, qui sont issues de la même philosophie. Libéralisme et marxisme ont pris des voies différentes qui les ont amenées à s’opposer mais qui conduisent aux mêmes résultats : l’asservissement des peuples préalablement trompés par les mythes démocratiques. La démocratie est le nouvel opium des peuples.

Un humanisme viril

Les peuples européens ont édifié une civilisation unique dans l’histoire. Son pouvoir créateur, malgré les millénaires, ne s’est pas tari. Ceux-là mêmes qui s’en déclarent ennemis reconnaissent implicitement son universalité. Entre un Orient traditionnel soumis aux règles métaphysiques et les nouvelles sociétés matérialistes, la civilisation européenne fait la synthèse des aspirations spirituelles et des nécessités matérielles. Alors que l’uniformité de la masse est proposée comme idéal partout dans le monde, elle exalte l’individualisme des forts, le triomphe de la qualité humaine sur la médiocrité. Elle résume en elle-même l’équilibre à établir comme solution aux bouleversements créés par la révolution technique dans la vie des hommes. Fondées sur les valeurs individuelles et communautaires, cette nouvelle harmonie peut être définie comme un humanisme viril. Nouvelle table des valeurs, cette humanisme viril rejette la fausse loi du nombre et veut plier la puissance de la technique et de l’économie à la volonté civilisatrice de l’homme européen. Celui-ci retrouvera sur une terre familière, au sein de sa lignée et dans la culture originale de son peuple, un monde à sa mesure. Il découvrira la signification de son existence dans l’accomplissement de son destin d’homme, dans la fidélité à un style de vie fondé sur l’éthique européenne de l’honneur.

L’éthique de l’honneur s’oppose à la morale d’esclave du matérialisme libéral ou marxiste. Elle affirme que la vie est un combat. Elle exalte la valeur du sacrifice. Elle croit au pouvoir de la volonté sur les évènements. Elle fonde sur la loyauté et la solidarité les rapports des hommes d’une même communauté. Elle confère au travail une grandeur en soi indépendante du profit. Elle retrouve le sens de la véritable dignité de l’homme non pas octroyée mais conquise par l’effort permanent. Elle développe chez l’homme européen la conscience de ses responsabilités par rapport à l’humanité dont il est l’ordonnateur naturel.

Un ordre vivant

La légitimité d’un pouvoir ne se résume pas à l’observation d’une loi écrite éminemment variable ou au consentement des masses obtenu par la contrainte psychologique des moyens publicitaires. Est légitime le pouvoir qui observe ledroit de la Nation, ses lois non écrites révélées par l’histoire. Est illégitime le pouvoir qui s’écarte du destin national et détruit les réalités nationales. Alors, la légitimité appartient à ceux qui luttent pour rétablir la Nation dans son droit. Minorité lucide, ceux-là forment l’élite révolutionnaire sur qui repose l’avenir. Le monde ne se plie pas à un système mais à une volonté. Ce n’est pas le système qu’il faut chercher mais la volonté. Certes, la structure même de l’Etat doit être pensée autour de quelques principes directeurs : l’autorité, la continuité, la puissance de conception se trouvent réunies dans une direction à forme collégiale ; celle-ci s’appuiesur un corps de cadres politiques hiérarchisés,assistés d’une véritable représentation populaire des professions et des communautés régionales aptes à délibérer de leurs problèmes propres. Mais il importe surtout de forger les hommes sur lesquels reposeront la communauté et l’avenir de la civilisation.

Ce ne sont ni les machines électroniques ni les savants qui décideront du sort de l’humanité. Les problèmes immenses que poseront les nouveaux développements techniques exigeront une élite politique appelée par vocation, douée d’une volonté d’airain au service d’une pleine conscience de sa mission historique. Cette écrasante responsabilité justifira qu’il lui soit demandé plus qu’aux autres hommes.

Cinq pour cent des individus, admettent les sociologues, sont profondément pervers, tarés, vicieux. A l’autre extrémité, on observe une même proportion d’hommes qui possèdent, naturellement et de façon développée, des qualités particulières d’énergie et d’abnégation qui les prédisposent à servir la communauté, donc à la diriger. Les démocraties qui instaurent le règne de la combine et de l’argent sont, en grande partie, dominées par les premiers. La révolution Nationaliste devra éliminer les premiers et imposer les seconds. La sélection et l’éducation, dès la jeunesse, de ces hommes d’élite serontparmi les premières préoccupations de la société nouvelle. Leur formation fouettera la vigueur de leur caractère, développera leur esprit de sacrifice, ouvrira leur intelligence aux disciplines intellectuelles. Maintenus dans la pureté originelle, non seulement par un engagement d’honneur mais par une règle stricte et particulière, ils formeront un ordre vivant constamment renouvelé dans le temps, mais toujours semblable dans son esprit. Ainsi, au pouvoir des manieurs d’argent sera substitué celui des croyants et des combattants.

Une économie organique

L’économie n’est pas une fin en soi. C’est un élément de la vie des sociétés, parmi les principaux, mais seulement un élément. Elle n’est pas la source ou l’explication des évolutions de l’humanité. Elle est un agent ou une conséquence. C’est dans la psychologie des peuples, dans leur énergie et leurs vertus politiques que se trouve l’explication de l’histoire. L’économie doit être soumise à la volonté politique. Que celle-ci disparaisse – ce qui est le propre des régimes libéraux – et les forces économiques débridées entraînent la société vers l’anarchie. Aussi le problème immense de l’économie s’inscrit-il naturellement dans la révolution Nationaliste. Ce serait revenir aux mortelles erreurs « nationales » que d’en nier l’importance ou de s’en débarrasser par un mot miracle aussi sujet à confusion et à contestation que celui de « corporatisme », par exemple. Le capitalisme a créé un monde artificiel où l’homme est inadapté. Par ailleurs, la communauté populaire est exploitée par une caste étroite qui monopolise tous les pouvoirs et tend à la suprématie internationale. Enfin, le capitalisme cache sous une débauche de mots nouveaux une conception anachronique dont l’économie supporte les conséquences. Ces critiques s’appliquent mot pour mot au communisme.

La solution à l’inadaptation de l’homme dans un monde qui n’est plus fait pour lui est, nous l’avons vu, un problème politique. Le développement technique et économique ne trouve pas en lui-même sa propre justification ; elle est dépendante de son utilisation. Au nouvel Etat d’assujettir l’économie à ses desseins, d’en faire l’outil d’un nouveau printemps européens. Créer des valeurs civilisatrices, forger les armes d’une nécessaire puissance, élever la qualité du peuple seront alors ses buts. C’est dans une totale transformation de la structure de l’entreprise (nous ne parlons ici que de l’entreprise à capital financier au assimilé, non de la petite entreprise familiale qui doit être préservée et où le problème ne se pose pas) et de l’organisation générale de l’économie réside le moyen de détruire le pouvoir exorbitant de la caste technocratique, de supprimer l’exploitation des travailleurs, d’établir une justice réelle, de retrouver la vérité économique et un fonctionnement sain.

En régime capitaliste comme en régime communiste, l’entreprise est la propriété exclusive du capital financier dans l’un, capital étatique dans l’autre. Pour les salariés, qu’ils soient cadres ou simples travailleurs, le résultat est le même : ils sont volés, les richesses produites par leur travail sont absorbées par le capital. Cette position favorisée donne au capital tous pouvoirs sur l’entreprise : direction, gestion, bien qu’ils soient extérieurs et tendent avant tout à réaliser un profit financier, parfois au détriment de la production et de l’entreprise elle-même. Le mot fameux de Proudhon trouve ici sa pleine signification : « la propriété, c’est le vol ! ». Supprimer l’appropriation est la solution juste qui donnera naissance à l’entreprise communautaire. Le capital prendra alors sa juste place d’élément de la production, à coté du travail. L’un et l’autre participeront, avec un pouvoir proportionnel à leur importance dans l’entreprise, à la désignation de la direction, à la gestion économique et au bénéfice des profits réels.

Cette révolution dans l’entreprise s’inscrira dans une organisation nouvelle de l’économie ayant pour base la profession et le cadre géographique régional. Supprimant les parasites et le pouvoir des financiers, elle créera un ensemble de corps intermédiaires. Ces nouvelles structures, capables de s’intégrer aisément dans l’Europe, ne peuvent trouver meilleure définition que celle d’ « économie organique ».

Une jeune Europe

La victoire américaine et soviétique de 1945 a mis un terme aux conflits des Nations européennes. La menace d’adversaires et de dangers communs, une évidente solidarité de sort dans les bons et les mauvais jours, des intérêts semblables ont développé le sentiment de l’unité. Ce sentiment est confirmé par le raisonnement. L’unité est indispensable à l’avenir des Nations européennes. Elles ont perdu la suprématie du nombre ; unies, elles retrouveraient celle de la civilisation, du génie créateur, du pouvoir d’organisation et de la puissance économique. Divisées, leurs territoires sont voués à l’invasion et leurs armées à la défaite ; unies, elles constitueraient une force invincible. Isolées, elles deviendront des satellites, avec la certitude de tomber, comme déjà une partie d’entre elles, sous la domination soviétique. La civilisation européenne serait systématiquement combattue et un point final serait mis à l’évolution de l’humanité. Unies, elles auront, au contraire, les moyens de s’imposer et d’assurer leur mission civilisatrice.

L’unité ne peut être le prolongement des organismes financiers et politiques institués dans l’après-guerre. Ils ont pour but d’étendre le pouvoir international de la technocratie qui en contrôle tous les rouages, et de préserver les privilèges politico-économiques qui se dissimulent derrière les panneaux réclames de la démocratie. Ces institutions apportent dès maintenant à l’échelle européenne les vices et les mots engendrés par le régime dans chacune des Nations et multipliés d’autant.

Au nom de l’Europe, le développement de ces institutions en accélère la décadence. L’unité ne peut signifier nivellement. L’uniformisation et le cosmopolitisme détruiraient l’Europe. Son unité s’édifiera autour des réalités nationales que chacun des peuples entend défendre : communauté historique, culture originale, attachement au sol. Vouloir limiter l’Europe à l’influence latine ou à celle du germanisme, ce serait maintenir sa division, voire développer une nouvelle hostilité. Mais surtout, ce serait nier la réalité européenne concrétisée par Rome et par l’époque médiévale dans une fusion de ses deux courants : continental et méditerranéen.

Imaginer l’Europe sous l’hégémonie d’une Nation serait recommencer un rêve sanglant dont l’histoire porte les traces récentes ; la diversité des langues et des origines n’est pas un obstacle ; nombreux sont les Etats multilingues et l’Empire romain, qui édifia la première unité européenne dans le respect des peuples rassemblés et de leurs cultures, se donna des Empereurs nés tant à Rome qu’en Gaule, en Illyrie ou en Espagne. L’Europe ne se borne pas à la limite artificielle du rideau de fer imposée par les vainqueurs de 1945. Elle englobe la totalité des Nations et des peuples européens. Penser à l’unité, c’est, en premier lieu, penser à la libération de toutes les Nations captives de l’Ukraine à l’Allemagne. Le destin de l’Europe est à l’Est : briser les chaînes, abattre la tyrannie soviétique, refouler la marée asiatique. Hors du bloc continental européen, les peuples et les Etats qui appartiennent à sa civilisation forment l’Occident. L’Europe en est l’âme. Sa complète solidarité s’affirmera notamment avec les centres occidentaux de l’Afrique. Ces positions sont les bases d’une nouvelle organisation du continent africain dont le sort est lié à celui de l’Europe. Dans la construction européenne, les peuples sous-développés trouveront un exemple et des solutions à leurs propres difficultés. Ce n’est pas de mendicité qu’ils ont besoin mais d’organisation.

L’Europe possède un corps incomparable de cadres spécialisés dans les questions d’outre-mer. Aucune autre puissance ne pourra rivaliser avec le talent d’organisation de ces cadres épaulés par le dynamisme européen réveillé. Ils sortiront ces peuples de la misère et de l’anarchie, ils les ramèneront à l’Occident. Ce ne sont pas les accords économiques qui unifieront l’Europe, mais l’adhésion de ses peuples au Nationalisme. Des obstacles qui paraissent insurmontables sont dus aux structures démocratiques. Une fois le régime balayé, ces faux problèmes disparaîtront d’eux-mêmes. Il est donc évident que, sans révolution, il n’y a pas d’unité européenne possible.

Le succès de la révolution dans une Nation d’Europe – et la France est la seule à réunir les conditions voulues – permettra une rapide extensions aux autres Nations. L’unité de deux Nations débarrassées du régime développera une telle force de séduction, un tel dynamisme que les vieux systèmes, le rideau de fer et les frontières s’effondreront. La première étape de l’unité sera politique et créera un seul Etat collégial à forme évolutive. Les autres étapes, militaires, économiques, suivront. Les mouvements Nationalistes d’Europe seront les agents de cette unité et le noyau du futur ordre vivant européen. Ainsi la jeune Europe, fondée sur une même civilisation, un même espace et un même destin, sera-t-elle le foyer actif de l’Occident et de l’ordre du monde. La jeunesse d’Europe aura de nouvelles cathédrales à construire et un nouvel empire à édifier.

L’organisation et l’action

La lutte menée autour des événements d’Algérie a montré que les « nationaux » pouvaient contribuer à créer une situation favorable. Mais la démonstration est également faite (sans remonter aux événements antérieurs à la seconde guerre mondiale) de leur totale impuissance à transformer une révolte populaire en révolution. L’embryon d’organisation nationaliste, malgré les efforts de ses militants, n’a pas grandi au rythme de la révolte spontanée. Ainsi, les conceptions « nationales » prévalurent-elle et la nouvelle résistance engagée dans des conditions politiques favorables après le 22 avril 1961, avec une abondance de partisans et de moyens, sombra dans le ridicule et le déshonneur. Cependant, cette période de lutte clandestine et de répression a forgé des combattants révolutionnaires, jeunes pour la plupart et les circonstances de l’effondrement ont déniaisé bon nombre de partisans qui faisaient confiance aux procédés « nationaux ». C’est pourquoi le Nationalisme trouvera demain les militants et les cadres qui lui firent défaut dans le passé.

La jeunesse française sera marquée pendant des années par les derniers combats menés pour la défense de l’intégrité du territoire national en Algérie. Ses meilleurs éléments y ont participé activement. Ils ont tout risqué, la torture, la prison, la mort. La condamnation des méthodes terroristes ne s’applique pas à eux qui furent des exécutants courageux et qui sont des exemples, mais aux chefs qui décidèrent de ces méthodes néfastes. La révolte de la Jeunesse contre une société sénile et hostile est une réalité. Personne n’avait prévu le raz-de-marée poujadiste de 1955 ni les révoltes paysannes de 1961. Malgré frigidaire et télévision, des hommes, par centaine de milliers, descendirent dans la rue. La malfaisance du régime suscitera dans l’avenir de nouvelles explosions populaires. Inorganisées, ces révoltes retomberaient comme les précédentes. Toute l’action doit donc avoir pour but d’introduire le levain dans la pâte. Le travail d’organisation, de pénétration, d’éducation populaire est toujours lent. Il faut se souvenir que tous les révolutionnaires du XXe siècle ont dû combattre longtemps avant de triompher. Lénine près de trente ans, Hitler treize ans, Mao-Tsé-Toung trentre-trois ans… Dans les difficultés de la lutte, la masse acquiert une conscience révolutionnaire, de nouveaux cadres surgissent, l’organisation se rôde et se renforce.

Le développement de l’action révolutionnaire n’est jamais progressif et harmonieux. Semblable à une ligne brisée, il est fait de succès partiels, d’échecs, de remontées, de nouvelles chutes, de stagnations apparentes. Tous les mouvements révolutionnaires ont connu des revers catastrophiques alors que la victoire semblait à portée de main : Bolcheviks en 1905, nationaux-socialistes en 1923, communistes chinois en 1927 et 1931. Leur réussite tint à leur faculté d’analyser les causes de ces échecs, d’en tirer les enseignements, de se corriger et de s’adapter aux nouvelles conditions de la lutte. Les bolcheviks abandonnèrent la seule illégalité pour conjurer les possibilités légales et illégales. Les nationaux-socialistes rejetèrent la voie insurrectionnelle pour entreprendre la conquête légale du pouvoir. Mao-Tsé-Toung laissa le prolétariat urbain et s’orienta vers les campagnes et la guérilla. L’action révolutionnaire, comme la guerre, obéit à des lois impératives. Les nationalistes doivent les rechercher à la lumière de leur propre expérience et les adapter à la nouvelle situation.

Des notables ou des militants

Pour un homme ou pour une idée ? L’électeur, le simple partisan, suivent une tête d’affiche, un nom connu, le sauveur d’un jour. Les « nationaux » aiment cette facilité. Troupeaux passifs, ils attendent tout de l’homme miracle. Même les petits groupes ont leur idole. L’immuable disparition du grand homme laisse des dupes aigris et découragés. Le Nationaliste n’a pas besoin de suiveurs mais de militants qui se définissent par rapport à sa doctrine, non par rapport à un homme. Ils ne combattent pas pour un pseudo-sauveur car le sauveur se trouve en eux. Ceux qui assument la direction de la lutte peuvent disparaître ou se tromper, la valeur de la cause ne s’en trouve pas atteinte, ils sont remplacés. Les militants se sacrifient pour leurs idées, non pour un homme.

L’organisation doit être la communauté des militants, non une propriété personnelle. Elle sera conduite par des responsables qui ne seront que les porte-paroles momentanés du Nationalisme. Les responsables dirigeront l’action des militants parce qu’ils seront révélés les plus aptes à servir l’Organisation, sans laquelle ils ne seraient rien. Le bluff et l’efficacité des sommes énormes recueillies pour l’Algérie Française furent englouties par les notables et les politiciens auxquelles elles furent confiées.

Quelques brochures, des conférences, des voyages, quelques affichages prétendirent justifier leur emploi. Avec ces moyens colossaux les notables n’ont rien fait. Pendant ce temps, des militants développaient une activité cohérente avec des moyens dérisoires que fournissaient leurs cotisations personnelles. Ils tinrent des réunions publiques, couvrirent le pays d’inscriptions, fabriquèrent des affiches à la main, déclenchèrent des actions spectaculaires à peu de frais, leurs ronéos tournèrent d’un bout à l’autre de la France. Ils firent beaucoup avec rien. C’est le propre du militant.

Les notables et la piétaille

Pour les notables qui dirigent les « nationaux », les militants appartiennent à une catégorie inférieure. Ils ne sont que la piétaille des luttes politiques. Ils font partie du matériel électoral. Ils sont les « billes » des éternels complots. Leur abnégation sert de marche-pied aux ambitions des arrivistes [allusions aux nouveaux cadres du FN ?].

Si les affaires tournent mal, les militants sont froidement abandonnés. L’Organisation Nationaliste écartera les notables. Ses membres et ses dirigeants seront des militants sortis, non des laboratoires électoraux ou d’officine à complots, mais du combat : les nuits d’affichage, les harangues en public, les coups, les réunions houleuses, les tracts tirés le soir sur une ronéo, distribués à l’aube, les arrestations, les interrogatoires, les sévices, la prison, les juges, les déceptions, les injures, l’indifférence, les échecs… Là, ce sont les plus tenaces, les plus dévoués, les plus conscients qui sont les premiers, là se forme l’élite révolutionnaire.

Union des « nationaux » ou organisation des révolutionnaires – Les ennemis camouflés

Nombre de politiciens, civils ou militaires, virent longtemps dans l’Algérie un tremplin pour leurs ambitions. Hommes du régime par intérêt et par formation, ils restèrent les ennemis jurés de la révolution. Ils furent d’autant plus aptes à la combattre qu’ils semblaient en être les partisans. Les gaullistes, jusqu’au 13 Mai, certains parlementaires, certains dirigeants par la suite, sont les illustrations du noyautage de la révolte par le régime.

L’un des comploteurs du 13 Mai, Léon Delbecque, expliqua sans vergogne cette méthode : « J’ai été l’organisateur du 13 Mai », déclarait-il le 6 juillet 1958 au congrès des Républicains Sociaux du Nord. « Aux fonctions que j’occupais, j’ai été sollicité pour participer à des complots dirigés bien souvent contre la République et le régime républicain, complots que connaissait la police, mais qu’elle était incapable d’empêcher. Je me suis occuper d’être au bon endroit, au bon moment, pour détourner vers le général de Gaulle le soulèvement qui devait se produire ». La direction de l’O.A.S. a regorgé de ces individus qui se sont « occupés d’être au bon endroit, au bon moment » pour engager la révolte dans une impasse. Si l’armée secrète avait pu détrôner de Gaulle, les mêmes auraient permis au régime de traverser cette crise sans encombre, comme au 13 Mai.

Ils sont habiles à utiliser la confusion née de buts apparemment semblables. Ils savent que les « nationaux », sans éducation politique, se laissent prendre au chantage à l’union et qu’ils ont un penchant coupable pour l’adversaire soi-disant repentant. C’est entrer dans leur jeu que de les accepter. Ce serait se faire leur complice que de se taire et de ne pas les dévoiler au peuple tout entier. Pas d’union avec les hommes du régime ! Ils doivent être dénoncés avec la dernière vigueur. A ce prix la masse cessera d’être trompée, les partisans perdront leur naïveté naturelle et deviendront des militants éduqués.

Zéro plus zéro

Zéro plus zéro, cela fait toujours zéro. L’addition des mythomanes, des comploteurs, des nostalgiques, des arrivistes, des « nationaux » donc, ne donnera jamais une force cohérente. Conserver l’espoir d’unir les incapables, c’est persévérer dans l’erreur. Les quelques éléments de valeur sont paralysés par les farfelus qui les entourent. Le jugement populaire ne s’y trompe pas. Aussi font-ils un mal considérable au Nationalisme avec lequel ils sont fréquemment confondus. Ils font fuir les éléments sains et tarissent tout recrutement de qualité. Avec eux, il ne peut être question d’union. Il faut, au contraire, proclamer les différences fondamentales qui les séparent du Nationalisme. Les farfelus doivent être impitoyablement écartés. A cette condition, il sera possible d’attirer des éléments neufs, des partisans efficaces.

Rassemblements et Comités d’Entente.

Même l’O.A.S. avec la dynamique de l’action, avec sa direction unique, ses moyens énormes, et un objectif commun essentiel, n’a pas réussi à fédérer en Métropole les partisans de l’Algérie Française. Comment penser que ce rêve pieux, aussi vieux que l’opposition nationale, pourrait se réaliser dans l’avenir avec des conditions infiniment moins valables ? Les rassemblements et les fronts ont un seul but : profiter à ceux qui les organisent ou les contrôlent. Le front populaire favorisera les communistes, comme le regroupement national servit Soustelle. Les autres participants sont des dupes. Proposés par les notables, les rassemblements et comités d’entente ont le plus souvent un but électoral. Ils procurent à bas prix des colleurs d’affiches, des équipes de service d’ordre ; ce sont d’excellentes pompes à finance. La période électorale close, le rassemblement est placé sous somnifère en attendant une nouvelle occasion d’exploiter l’inaltérable crédulité des « nationaux ».

A la première difficulté sérieuse, par exemple une décision à prendre sur un événement controversé, le front explose et chacun reprendre sa liberté. Le rêve a vécu. Le combat politique, tout comme la guerre, est faite de manœuvre : dissimulation, recul, offensive. Il nécessite une totale discipline et une direction unique capable de prendre instantanément des initiatives engageant l’ensemble des forces. Leur composition hétérogène et la diversité de conception de leurs dirigeants interdisent aux rassemblements de se plier à ces lois ; ils sont donc voués à l’opportunisme et à la désintégration.

Comment imaginer qu’un troupeau incohérent où dominent les bavards, les arrivistes et les farfelus, que minent les querelles clans et de personnes, soit capable de lutter contre la force supérieurement organisée du régime ? Il est vrai que tel n’est pas le but des notables « nationaux ». Cette forme d’action est définitivement condamnée par l’expérience. La tactique du front ne saurait être envisagée sans une puissante organisation Nationaliste capable de lui imprimer son élan et de lui imposer sa ligne politique.

Organisation monolithique et disciplinée

Le travail de ces dernières années fut accompli par de petites équipes, voire des isolés. Ces noyaux étaient composés de militants véritables, éduqués, sûrs, compétents. Avec des moyens infimes, mais de la ténacité et de l’imagination, ils furent les artisans de tous les succès partiels enregistrés dans la lutte.

La preuve est faite que cinq militants valent mieux que cinquante farfelus. La qualité des combattants, est, de loin, préférable à leur quantité. C’est autour d’une équipe minoritaire et efficace que la masse se rassemble, pas l’inverse. Que les mouvements révolutionnaires soient des minorités agissantes ne signifie évidemment pas que tous les groupes minoritaires soient, pour autant, révolutionnaires. C’est une excuse trop facile pour la médiocrité de certains. Les minorités agissantes ne sont pas des sectes stériles, elles sont en prise directe sur le peuple.

Destinée au combat, l’Organisation Nationaliste doit être une, monolithique et hiérarchisée. Elle sera formée par le groupement de tous les militants acquis au Nationalisme, dévoués et disciplinés. Leur âge, pas plus que leur milieu, n’a d’importance. Qu’ils soient étudiants ou paysans, ouvriers ou techniciens, ces militants seront dans tous les milieux les propagandistes et les organisateurs de la révolution.

Suivant les circonstances, leur action sera apparente ou non. Ses aspects lui permettront d’assurer la pénétration généralisée de l’Organisation Nationaliste, jusques et y compris dans les rouages du régime.

Complot ou action populaire – En retard d’une guerre

L’exemple des complots gaullistes, du terrorisme systématique du F.L.N. ou de l’I.R.A. en Irlande, a séduit nombre de « nationaux ». Il est plus facile de copier le passé que d’imaginer l’avenir. L’anachronisme en politique, comme dans le domaine militaire, est une certitude de défaite : on ne refait pas une guerre de position à l’époque des blindés. Certaines images ont causé le plus grand mal dans le passé. La guerre d’Espagne, l’insurrection nationale de 1936 autour de l’armée. Le 13 Mai et le pseudo-soulèvement militaire. L’appel aux soldats, cher aux « nationaux ».

L’armée française est l’une des composantes du régime ; ses chefs ont été soigneusement choisis pour leur soumission intéressée, ses cadres sont en majorité de simples fonctionnaires, mais pas l’armée avec un grand « A ». Celle là serait tout juste bonne à épauler une entreprise de replâtrage du régime. C’est par manque de confiance en soi et par refus de l’effort que les « nationaux » se sont déchargés de leur responsabilité sur l’espoir aveugle d’imaginaires complots militaires. C’est une lâcheté intellectuelle, une fausse excuse pour échapper aux patientes et difficiles tâches du militant.

Mille cadres révolutionnaires

Un consentement populaire, pas plus qu’une action de rue, n’est suffisant pour assurer le succès de la révolution dans une société techniquement développée. Pas de pouvoir sans le contrôle, par l’intérieur, des rouages techniques qui assurent le fonctionnement d’un Etat moderne. L’extrême complexité de la Haute-Administration, son pouvoir occulte, sa colonisation par la caste des technocrates, en font un monde à part, étanche et tout puissant. Seule la présence dans ces rouages de cadres révolutionnaires, même en nombre très limité permettra de la neutraliser et de la plier à la volonté nationaliste. Certains services publics d’intérêt vital pour le fonctionnement du pays, noyautés par les technocrates et les communistes, entrent dans le même cadre de préoccupations.

A ciel ouvert, porte-étendard du Nationalisme, le mouvement politique proprement dit aura pour tâche de parler publiquement au peuple et de le gagner. Il utilisera, suivant les nécessités de l’heure, tous les moyens légaux de propagande d’action. Bâti sur un corps hiérarchisé de cadres et de militants éduqués, organisés sur une base cellulaire, à la fois territoriale et professionnelle, il sollicitera des adhésions massives.

En liaison ouverte ou non avec le mouvement politique, des « bases » seront progressivement organisées. Comme cela fut expliqué plus haut, les « bases » ont pour but la prise en main et le contrôle d’un milieu déterminé par une action tant sociale que politique, les adversaires étant éliminés et les neutres absorbés. Ce travail pourra donner naissance à des associations diverses adaptées au milieu visé. Il reposera entièrement sur des cadres Nationalistes spécialisés et capables d’en assurer l’organisation.

Pénétration dans les rouages de l’Etat, mouvement politique, bases populaires seront les branches principales de l’Organisation Nationaliste. Elle sera donc bâtie sur un corps de cadres hiérarchisés, spécialisés, présents dans toutes les organisations sociales, rattachés à une direction centralisée à forme collégiale. L’organisation sera ainsi capable d’orchestrer la même campagne dans tout le pays et sous tous les aspects. Elle sera capable de manoeuvrer avec discipline et promptitude dans la bataille. Cadres et militants seront dans le peuple comme le levain dans la pâte. Mille cadres révolutionnaires d’élite donneront au Nationalisme la victoire.

A l’échelle de l’Occident – Un poumon extérieur

Pendant toute la période qui suivit le 22 Avril 1961, l’action en faveur de l’Algérie Française reçut un soutien permanent et actif de différents groupes à tendance Nationaliste d’Europe et même des Etats-Unis. Pour la première fois, une solidarité effective unit les Occidentaux par-dessus les frontières. Les moyens de propagande de ces groupes furent mobilisés afin d’appuyer l’action menée en France. Journaux, brochures, conférences, réunions, manifestations, comité de soutien adoptèrent un même mot d’ordre repris dans toutes les langues.

Plusieurs Nations devinrent, en quelque sorte, des poumons « extérieurs » de la résistance française, lui permettant de reprendre souffle. Des groupes de travail s’installèrent. L’hébergement des partisans traqués fut organisé. Le régime comprit le danger. Il intervint sur le plan diplomatique pour que cesse l’appui aux combattants français et pour que soient réprimés les actes de solidarité.

Solidarité et orchestration

Face au complot permanent des régimes libéraux et de l’organisation communiste internationale, les Nationalistes d’Occident doivent, non seulement persévérer dans cette voie, mais accroître l’action et perfectionner la méthode. Les militants d’une Nation Europe doivent trouver à l’extérieur de leurs frontières un support de propagande qui explique leur combat, exalte leur courage, dénonce la répression et les sévices dont ils sont victimes, éveille le sentiment d’un combat commun des peuples européens pour leur survie contre ceux qui veulent les asservir.

L’élargissement de ces initiatives doit permettre une véritable orchestration autour d’un thème central très simple : lutte contre le communisme et contre tout ceux qui le favorisent. Par des canaux très différents : presse, cercles d’étudiants, syndicats, parlementaires, mouvements politiques, association culturelles, anciens combattants, organisation de jeunes, comités d’intellectuels, une vigoureuse contre-attaque pourra être menée contre les entreprises soviétiques et ceux qui les appuient indirectement. Tel événement susceptible de démontrer la collusion du régime libéral et du communisme, tel autre capable de soulever l’indignation populaire, pourront être immédiatement montés en épingle, partout et au même moment. Un organisme coordinateur laissant à chacun sa liberté d’action devra recueillir les informations et les diffuser aux fins d’exploitation.

Un sang nouveau

L’entrée de la jeunesse dans le combat politique, l’influence des luttes menées en France, les problèmes neufs, ont accéléré le besoin d’une nouvelle définition de l’idéologie Nationaliste comme doctrine de la Jeune Europe. De nombreux contacts, des échanges d’idées, des conférences communes ont montré une convergence des conceptions chez tous les militants européens.

Les dernières années, qui sont une source incomparable d’enseignements pour les Nationalistes de France, apparaissent au même titre comme une expérience unique offerte aux Nationalistes d’Europe. Là se forge une méthode adaptée aux nouvelles conditions de lutte. Dans la critique positive entreprise par les militants français, les combattants européens trouveront les leçons qui guideront leur action.

Pour Commencer

Pour commencer, il faut créer les conditions d’une action nouvelle, populaire et résolument légale. Dans cette perspective, les dernières séquelles de l’O.A.S., qui sont désormais un atout puissant du régime, doivent être éliminées parce que néfastes. Il importe de développer partout et à tous les échelons la critique positive de l’action antérieure, de travailler collectivement à la nouvelle définition du Nationalisme. Il faut parler, écrire, s’expliquer, demander l’ouverture de la presse d’opposition nationale à ce travail. Toutes les occasions doivent être saisies et les travaux personnels doivent être inspirés par ce souci et ce besoin.

L’action de propagande doit être poursuivie afin de maintenir la présence et l’explication permanente du Nationalisme. Pleurer le passé ou pratiquer une politique de ressentiment serait allé à l’encontre du but poursuivi. La responsabilité de l’abandon de l’Algérie incombe, non au peuple trompé, mais au régime et aux politiciens (civils et militaires) qui dirigent le combat « national ». Parallèlement, il faut maintenir le contact avec tous les partisans sincères. Aider ceux qui sont éprouvés. Etre activement présents auprès de nos compatriotes réfugiés d’Algérie et ne pas laisser l’initiative aux seules forces du régime.

Cette période transitoire doit être mise à profit pour un travail en profondeur afin de préparer l’heure où les militants, autrefois dispersés, se réuniront afin de mettre sur pied l’Organisation Nationaliste, définir son programme et engager le fer. Non, les complots ne résolvent rien, ils sont néfastes. Les comploteurs ressemblent à ces vieilles filles qui se réunissent pour épancher leur bile et leurs sentiments venimeux. Comploteurs de salon ou terroristes, ils se coupent eux-mêmes de leurs compatriotes. Ils prennent une mentalité d’incompris, deviennent hargneux et le ressentiment les domine. Ils s’écartent ainsi définitivement du Nationalisme et de la victoire.

Le révolutionnarisme

Ce ne sont pas les moyens utilisés, mais les buts qui caractérisent une organisation révolutionnaire. Les moyens, eux, ne dépendent que des circonstances. Ainsi, le parti bolchevik usa de l’illégalité et de la violence, tandis que le parti national-socialiste, autre organisation révolutionnaire, utilisa les seuls moyens légaux pour conquérir le pouvoir. L’outrance dans l’expression, les promesse d’Apocalypse n’ont jamais fait avancer le Nationalisme d’un pas, au contraire. L’adversaire y trouve des arguments faciles, le peuple se détourne d’hommes qui se présentent comme des fous dangereux, les partisans se découragent ou se déforment à leur tour.

Le révolutionnarisme caricatural, dans les propos, les attitudes et l’action, est l’ennemi de la révolution. Ce sont surtout les jeunes éléments qui doivent s’en méfier. Revêtir un déguisement baptisé uniforme, confondre le sectarisme avec l’intransigeance, afficher une violence gratuite sont des pratiques qui relèvent de l’infantilisme. Certains y trouvent l’exaltation d’un romantisme morbide. La révolution n’est pas un bal costumé ni un exutoire pour mythomanes. L’action révolutionnaire n’est pas l’occasion de surenchère au purisme.

Des bases dans le peuple

L’action a pour but d’éclairer le peuple intoxiqué par la puissante propagande du régime, de lui proposer l’idéal nationaliste et de l’organiser pour vaincre. C’est pourquoi la priorité est à la propagande. Portant sur la masse, cette action doit être rigoureusement légale. Le travail dans le peuple n’est pas un privilège du communisme. Il nécessite seulement une méthode adaptée. Pénétration systématique et patiente, elle revêtira les aspects les plus variés. Le mécontentement des travailleurs d’une entreprise contre les syndicats officiels, la révolte des mal logés d’un quartier, la concentration des réfugiés d’Afrique du Nord dans un H.L.M., une ouverture dans une fédération locale d’exploitants agricoles, une corporation d’étudiants, le renouvellement des mandats d’une municipalité favorable, un centre d’instruction de l’armée, une école professionnelle, voilà au hasard autant d’occasions de constituer progressivement, avec persévérance et une parfaite adaptation au milieu, des « bases » nationalistes. L’instituteur, l’ingénieur, l’officier, le syndicaliste, militants Nationalistes, seront chacun dans leur milieu, les organisateurs possibles de ces « bases ».

L’organisation de telles bases en milieu populaire implique une spécialisation du travail et la concentration des efforts de tous sur les quelques points choisis après une analyse poussée des chances et des moyens à employer. Mieux vaut contrôler dans toute la France une seule entreprise, une seule municipalité, une seule faculté que de déployer une agitation généralisée sans prise sur la masse. Ces points forts du Nationalisme deviendront par l’exemple ses meilleurs atouts de propagande. Ils seront des écoles de militants et d’organisateurs qui, à leur tour, poursuivront le travail dans d’autres milieux.

C’est une action de longue haleine sans gloire et sans panache. C’est une action de fourmi. Mais, seule cette action se révélera efficace.

Artisanat ou efficacité – L’artisanat

A l’origine du combat Nationaliste, l’éparpillement des initiatives et la faiblesse des moyens initiaux avaient concentré sur un très petit nombre de militants la totalité des tâches. Ce qui était nécessaire lors d’une première étape devient catastrophique quand l’organisation se développe. Quelques hommes-orchestres sont écrasés par d’innombrables activités, toutes aussi nécessaires les unes que les autres. Autour d’eux, on prend l’habitude de s’en remettre à eux pour tout. De crainte de voir une tâche médiocrement exécutée par un nouveau titulaire, l’homme orchestre continue à tout faire par lui-même. L’esprit d’initiative disparaît et, avec lui, le goût de l’action. Des militants de valeur se voient relégués au rang de manœuvre ; ils perdent leur foi et leur dynamisme.

A ce stade artisanal, tout le monde doit savoir tout faire et personne n’est chargé en propre de rien. Les aptitudes personnelles des militants sont ignorées. Le travail artisanal entraîne une extraordinaire perte d’énergie et de qualité. Ainsi a-t-on vu un excellent journaliste économique, très introduit aux Etats-Unis, chargé de répartir des circulaires de l’O.A.S. dans les bureaux de poste. Il fut arrêté au cours d’une des ces opérations que de jeunes partisans, lycéens ou autres, auraient pu accomplir à sa place, alors que personne ne pouvait le remplacer dans sa spécialité où son utilité aurait dû apparaître évidente.

L’homme-orchestre débordé comme le militant inutilisé se rejoignent dans un même sentiment d’inefficacité et de dégoût. L’un et l’autre ont conscience de tourner dans le vide. Les militants éprouvés sont en nombre suffisant pour que la future Organisation Nationaliste se refuse au travail artisanal qui entraînerait son asphyxie.

Division du travail et centralisation

La variété des activités de l’Organisation, la diversité des milieux qu’elle doit pénétrer, le caractère à la fois apparent et non apparent de la lutte, imposent une division du travail qui doit aller, dans certains cas, jusqu’au cloisonnement. Ce fractionnement par branches d’activités confiées à des responsables éprouvés s’accompagne logiquement d’un commandement unique et centralisé au sommet.

A l’intérieur de chaque branche d’activité, la division du travail et la spécialisation des membres doivent être également pratiquées. Les organisations locales doivent pouvoir se consacrer avec le maximum d’efficacité à l’action, la centralisation et la spécialisation des tâches doivent leur en donner la possibilité. Pour prendre un exemple, celui de la propagande, capable de fournir rapidement un matériel adapté aux groupes locaux, que les initiatives artisanales impuissantes à lutter contre la propagande adverse.

Par ses militants, L’Organisation doit être présente partout, y compris chez l’adversaire. La présence de militants dans certains rouages économiques ou administratifs peut être d’une utilité infiniment supérieure à leur participation comme simples manoeuvres aux activités d’un groupe d’action. La lutte n’est pas une dans ses formes. C’est pourquoi la division du travail doit être également appliquée à l’échelon des organisations locales. Les membres doivent être des éléments actifs du travail commun, responsables de tâches précises et non de simples exécutants. A cette condition, des militants efficaces, des organisateurs, des cadres se formeront.

Exclusivité Hanoho: Un prof d’histoire en Pologne viré pour avoir parlé du rôle juif dans la « Shoah »

Exclusivité, parce que je n’ai rien trouvé sur le web francophone à ce sujet.

Il faut savoir que depuis quelques années, dans le dernier pays au monde où l’église catholique romaine conserve encore quelque pouvoir, se mène une intense campagne pour la démoralisation de la nation. Récemment, un énooooorme musée à été construit en Pologne pour célébrer la Shoah et le soulèvement du ghetto de Varsovie, payé en grande partie par le contribuable polonais (10 millions d’euros par le ministère de la Culture + 10 millions d’euros par la ville de Varsovieà qui ont a refusé dans le même temps qu’y soit apposé une simple stèle commémorant les « justes » polonais ayant caché des juifs durant la seconde guerre mondiale au motif qu’il n’est pas bon d’exacerber le sentiment de fierté nationale… On sait où cela à conduit, etc. Une pétition a même été réalisée, par le centre de recherche sur l’Holocauste, où l’on peut lire que cette stèle serait le « triomphe de la complaisance nationale« .

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Barbara Engelking

Et la directrice du centre, Barbara Engelking d’ajouter que ce serait même un « crime antisémite« … Ça va loin, reconnaître la bravoure d’un peuple est un crime antisémite, nous voilà prévenu. L’idéologie est somme toute assez primaire: on se sert dans votre porte-monnaie et vous fermez votre gueule bande de fascistes.

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Nouveau mémorial juif en Pologne, payé en grande partie par le contribuable polonais

Devant cette propagande de fond, s’est levé, le professeur Krzysztof Jasiewicz de l’académie des Sciences de Varsovie, directeur du département d’histoire des pays de l’Est… et il s’est fait viré, purement et simplement. Mais qu’a t-il donc fait ? Violer un gamin ? Égorgé un soldat dans la rue ? Rien de tout cela… Voilà les paroles qui lui ont valu le coup de pied au derche:

Prof. Krzysztof Jasiewicz (photo credit: Polish Photography Agency/Polska Agencja Fotografów)

« Des générations de Juifs ont travaillé pendant des siècles pour parvenir à l’Holocauste »

« Sans la participation active des juifs de l’Holocauste aurait été impossible »

« Dialoguer avec les juifs est une perte de temps »

« Les Juifs nous accusent [les polonais] de tout les maux, ils sont violents et arrogants envers nous. Notre rôle dans ce dialogue se limite à présenter des excuses »

Ce brave homme salopard, fut viré illico presto, comme il se doit. La raison ? « Violation des normes élémentaires de la rigueur scientifique ». Sans commentaires.

Remarque: j’ai voulu partager ce lien sur le site propagande.info, voilà ce que m’a répondu l’administrateur du site:

« [ADMIN : On a supprimé le lien, c’est de la merde de juif, le gros piège habituel. Le type dit « Sans la participation active des juifs de l’Holocauste aurait été impossible ». En réalité, il n’y a pas eu du tout d’Holocauste, c’est une escroquerie des crochus.] »

Je ne peux évidemment pas approuver cette remarque sans me trouver sous le coup de la loi, mais je ferais juste remarquer qu’il existe aussi en Pologne une loi mémorielle qui peut amener l’auteur à 3 ans de prison, sans compter tout le reste. Ce professeur n’est donc pas forcément « un escroc ». Il faut savoir que ce prof subi aujourd’hui une véritable chasse à l’homme dans tous les merdias. Conspué, dénigré, avili… comme ils savent le faire. D’ailleurs les polonais étaient prévenus: lors du congrès juif mondial de 1996, le secrétaire général Israel Singer a dit:

« More than three million Jews died in Poland, and the Polish people are not going to be the heirs of the Polish Jews. We are never going to allow this. (…) They’re gonna hear from us until Poland freezes over again. » If Poland did not satisfy Jewish claims it would be « publicly attacked and humiliated« .

Je crois que c’est à peu près le seul genre de promesse qu’ils tiennent toujours.

Pour une société vraiment égalitaire

J’ai trouvé un texte d’une nullité abyssale, mais que d’aucun impressionnés par les raisonnements à l’emporte pièce ne peuvent en aperçevoir pas la stupidité. J’en met ici l’extrait le plus parlant (issu d’un blog merveilleux):

« En effet, selon la constitution des droits de l’homme, TOUS LES HOMMES SONT EGAUX : c’est fondamental. Donc tous les hommes devraient avoir les mêmes droits. Mais les homosexuels n’ont pas le droit au mariage. Ainsi, la loi se contredit elle-même. Il n’est pas logique que tout le monde soit égal, mais qu’une partie de la société n’ait pas un droit que les autres ont ! En réalité, ceux qui sont contre le mariage homosexuel ne font que semblant d’être en conformité avec les principes démocratiques. […] Ce débat est en effet assez étrange quand on y pense, car en réalité, on ne devrait même pas se poser la question du droit au mariage parce que si deux personnes adultes et consentantes s’aiment, elles et elles seules doivent être libres d’en décider. S’est-on déjà interrogé sur le droit au mariage hétérosexuel ? S’il existe un mariage qu’il soit accessible à tous, ou alors supprimons le complètement. C’est le principe de l’égalité. »

Voilà le même texte appliqué à d’autres discriminations intolérables:

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« En effet, selon la constitution des droits de l’homme, TOUS LES HOMMES SONT EGAUX : c’est fondamental. Donc tous les hommes devraient avoir les mêmes droits. Mais les bien-portants n’ont pas le droit à la chimio. Ainsi, la loi se contredit elle-même. Il n’est pas logique que tout le monde soit égal, mais qu’une partie de la société n’ait pas un droit que les autres ont ! En réalité, ceux qui sont contre la chimio pour tous ne font que semblant d’être en conformité avec les principes démocratiques. […] Ce débat est en effet assez étrange quand on y pense, car en réalité, on ne devrait même pas se poser la question du droit à la chimio pour tous parce que si deux personnes sont bien portantes et consentantes, elles et elles seules doivent être libres d’en décider. S’est-on déjà interrogé sur le droit à la chimio pour les cancéreux ? S’il existe une chimiothérapie qu’elle soit accessible à tous, ou alors supprimons la complètement. C’est le principe de l’égalité. »

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« En effet, selon la constitution des droits de l’homme, TOUS LES HOMMES SONT EGAUX : c’est fondamental. Donc tous les hommes devraient avoir les mêmes droits. Mais les non-handicapés n’ont pas le droit aux places pour handicapés. Ainsi, la loi se contredit elle-même. Il n’est pas logique que tout le monde soit égal, mais qu’une partie de la société n’ait pas un droit que les autres ont ! En réalité, ceux qui sont contre les places handicapés pour tous ne font que semblant d’être en conformité avec les principes démocratiques. […] Ce débat est en effet assez étrange quand on y pense, car en réalité, on ne devrait même pas se poser la question des places pour handicapés pour tous parce que si deux personnes non-handicapés consentantes veulent stationner sur une place handicapé, elles et elles seules doivent être libres d’en décider. S’est-on déjà interrogé sur le droit aux places handicapés aux handicapés ? S’il existe des places handicapés qu’elles soient accessibles à tous, ou alors supprimons les complètement. C’est le principe de l’égalité. »

coupe-roland-garros

« En effet, selon la constitution des droits de l’homme, TOUS LES HOMMES SONT EGAUX : c’est fondamental. Donc tous les hommes devraient avoir les mêmes droits. Mais ceux qui ne jouent pas au tennis n’ont pas le droit à la coupe du vainqueur de Roland Garros. Ainsi, la loi se contredit elle-même. Il n’est pas logique que tout le monde soit égal, mais qu’une partie de la société n’ait pas un droit que les autres ont ! En réalité, ceux qui sont contre la coupe de Roland Garros pour tous ne font que semblant d’être en conformité avec les principes démocratiques. […] Ce débat est en effet assez étrange quand on y pense, car en réalité, on ne devrait même pas se poser la question d’une coupe de Roland Garros pour tous parce que si deux personnes consentantes qui n’ont jamais fait de tennis de leur vie veulent brandir la coupe de Roland Garros, elles et elles seules doivent être libres d’en décider. S’est-on déjà interrogé sur le droit des vainqueurs de Roland Garros à la coupe ? S’il existe une coupe du vainqueur qu’elle soit accessible à tous, ou alors supprimons la complètement. C’est le principe de l’égalité. »

CROSSblog – Homoparentalité : l’étude statistique censurée en France

[Paru dans « 24 heure actu » le 23 janvier] 

Publié le 23 janvier ? Donc nos politiques agissent en connaissance de cause, on ne peut même pas leur prêter des circonstances atténuantes telles que l’ignorance ou l’incompétence, leur but est clairement mis-à-jour !

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Photo : zigazou76

Une étude publiée par un sociologue américain démontre les effets de l’homoparentalité sur la psychologie des enfants privés d’altérité dans leur éducation et confrontés aux questions sur leur conception et leurs origines. Cette étude tenue secrète en France démontre, outre les problèmes de déséquilibre psychologique des enfants élevés par des couples homosexuels, que ces enfants sont en moyenne 10 fois plus victimes d’attouchements sexuels que les enfants ayant grandi dans leurs familles biologiques…

Le sociologue américain Mark Regnerus a publié un article dans le journal américain « Social Science Research, intitulé  « How different are the adult children of parents who have same-sex relationships? Findings from the New Family Structures Study » (A quel point les enfants devenus adultes de parents ayant eu une relation homosexuelle sont-ils différents ? Résultats de l’Étude sur les nouvelles structures familiales), qui dresse la bilan de la longue étude qu’il a menée sur 2988 personnes interrogées.

Les résultats de cette étude du chercheur universitaire sont surprenants. Ils ont été repris dans le site d’information américain Slate. Selon cette étude, les enfants élevés dans leurs familles biologiques disposent d’un meilleur niveau d’études, d’une meilleure santé mentale et physique, ils consomment moins de drogue, se tiennent plus éloignés des activités criminelles et se considèrent plus heureux que les enfants élevés par un couple homosexuel.

A l’inverse, les enfants issus de familles homoparentales, et en particulier de couples lesbiens sont bien plus sujets aux dépressions, il ont plus de problèmes physiques, il consomment plus de marijuana et ont plus de chance d’être au chômage (69% des enfants issus de familles homoparentales vivent des prestations sociales contre 17% pour les enfants de couples hétéros). Surtout, contrairement aux théories de Jean-Michel Aphatie et de Caroline Fourest, selon lesquelles les hétérosexuels sont de violents alcooliques qui frappent leurs enfants et en abusent, les enfants de couple lesbiens seraient en moyenne 10 fois plus victimes d’attouchements sexuels que dans les familles « hétéro-parentales » (23% contre 2% de moyenne).

Aux États-Unis, le lobby gay a été choqué par cette étude et l’a dénoncée si violemment (appuyé par des journalistes progressistes) qu’un mouvement de scientifiques s’est créé pour soutenir ces travaux et leur sérieux méthodologique.

Il est étonnant de constater que cette étude n’a jamais été évoquée par le moindre journaliste, en France, alors que nous sommes censés être en plein débat sur l’homoparentalité. Les journalistes préfèrent suivre les socialistes dans leur chasse aux « dérapages » homophobes plutôt que de s’interroger sur le fond du sujet et sur les dangers d’une telle loi.

Il est clair que les études sociologiques peuvent être controversées, mais pourquoi nous cacher celle là, alors que tous les défenseurs du mariage pour tous les homos, sans jamais rien citer, disent, l’air sûrs d’eux, que les premières études prouvent qu’il n’y a pas de différence éducative entre l’homoparentalité et la parenté « classique » ? Pourquoi personne ne parle tout haut de cet élément qui pourra certes être débattu mais qui ne peut qu’apporter des faits nouveaux aux discussions.

Qu’on montre toute les études et chacun se fera son idée, pourquoi laisser Caroline Fourest nous expliquer que les enfants de couples homosexuels sont en pleine forme sans mettre en doute cette vérité énoncée qui ne coule pourtant pas de sens ?

En même temps, tous ces futurs enfants dépressifs, drogués, aux troubles psychologiques, parasites de l’état, formeront de formidables électeurs (et militants pour ceux qui seront un peu plus en forme) du Parti Socialiste. On comprend mieux pourquoi le PS veut déglinguer nos enfants et légaliser le commerce des bébés…

La dégénérescence programmée, c’est maintenant !

Que disait Churchill en 1920 ?

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Churchill… Aujourd’hui, Churchill a sa statue en Israël, (dont on voit dans cette vidéo toute sa soumission) et est célébré comme un authentique sioniste anti-nazi ayant façonné « l’image positive des juifs ». Pour comprendre son pragmatisme et son cynisme, il suffit de lire ce que Churchill écrivait sur ce qu’il pensait vraiment du peuple élu en 1920.

Illustrated Sunday Herald – February 8, 1920, page 5

Churchill b5d3321dfc50Traduction du texte par mes soins (que j’ai récupérer ici parmi d’autres infos):

« Certaines personnes aiment les Juifs et d’autres pas, mais une personne réfléchie ne peut douter du fait qu’ils sont sans aucun doute la plus formidable et la plus remarquable race que le monde ait jamais porté. Et il se pourrait bien que cette incroyable race soit, à l’heure actuelle, à l’œuvre pour produire un nouveau système philosophique de morale, aussi malveillant que le christianisme est bienveillant, qui, s’il n’est pas arrêté briserait définitivement tout ce que le christianisme a rendu possible. On pourrait presque croire que l’Évangile du Christ et l’Évangile de l’Antéchrist proviennent des mêmes personnes, et que cette race mystique et mystérieuse avait été choisi pour la manifestation suprême, à la fois du divin et le diabolique. Les juifs de nationalité russe, en dépit des troubles dans lesquels ils ont souffert, ont réussi à joué un rôle honorable et couronné de succès dans la vie nationale même de la Russie. En tant que banquiers et industriels, ils ont vigoureusement promu le développement des ressources économiques de la Russie, et ils n’étaient pas étrangers à la création de ces organisations remarquables que sont les sociétés coopératives russes. En politique, leur soutien a été donné, pour la plupart, à des mouvements libéraux et progressistes, et ils ont été parmi les plus ardents défenseurs de l’amitié avec la France et la Grande-Bretagne.
Les Juifs internationaux.

Dans une violente opposition à toute cette sphère de l’effort juif se sont levés les plans des juifs internationaux. Les partisans de cette sinistre confédération sont pour la plupart des hommes issus des populations malheureuses des pays où les Juifs furent persécutés à cause de leur race. La plupart, sinon la totalité, d’entre eux ont abandonné la foi de leurs ancêtres, et divorcé de leur esprit toutes les espérances spirituelles de l’autre monde. Ce mouvement parmi les Juifs n’est pas nouveau. Depuis l’époque de Spartacus-Weishaupt à celles de Karl Marx, jusqu’à Trotsky (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne), et Emma Goldman (Etats-Unis), cette conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution d’une société sur la base de l’arrêt du développement, de la malveillance envieuse, et de l’égalité impossible, n’a cessé de croître. Cela a joué, comme l’a si bien montré l’écrivain moderne, Mme Webster, une partie définitivement évidente dans la tragédie de la Révolution française. Cette idéologie a été la cheville ouvrière de tous les mouvements subversifs durant le XIXe siècle, et maintenant, pour finir, cette bande de personnalités extraordinaires du monde de l’ombre des grandes villes d’Europe et d’Amérique a saisi le peuple russe par les cheveux de leur tête et sont devenus pratiquement les maîtres incontestés de cet énorme empire.
Juifs terroristes.

Aucuns besoin d’exagérer le rôle joué dans la création du bolchevisme et dans ce qui a amené la Révolution russe par ces juifs internationaux, athées la plupart. Ils ont eu très certainement un très grand rôle qui l’emporte probablement sur tous les autres. À l’exception notable de Lénine, la majorité des figures de proue sont juifs. En outre, la source d’inspiration principale et la puissance motrice provient des dirigeants juifs. Ainsi Tchitcherin, un Russe de souche, est éclipsé par Litvinoff son subordonné nominal, et l’influence des Russes comme Boukharine ou Lounatcharski ne peut être comparé avec le pouvoir de Trotsky, ou de Zinoviev, le dictateur de la Citadelle Rouge (Petrograd), ou de Krassine ou de Radek – tous des Juifs. Dans les institutions soviétiques la prédominance des Juifs est encore plus étonnante. Et l’important, si ce n’est le principal rôle dans le système de terrorisme appliqué par les Commissions extraordinaires pour combattre la contre-révolution a été prise par les Juifs, et dans certains cas notables par des Juives. On retrouve la même prédominance maléfique des Juifs durant la brève période de terreur au cours de laquelle Bela Kun a régné en Hongrie. Le même phénomène a été présenté en Allemagne (en particulier en Bavière), pour autant que cette folie a été autorisé à se nourrir de la prostration temporaire du peuple allemand. Bien que dans tous ces pays, il y a beaucoup de non-juifs en tous points aussi mauvais que le pire des révolutionnaires juifs, le rôle joué par celui-ci en proportion de leur nombre dans la population est étonnant.
« Protecteur des Juifs. »

Inutile de souligner le fait que les passions vengeresses les plus intenses ont été excitées au sein du peuple russe. Partout où l’autorité du général Dénikine pouvait s’exprimer, la protection a toujours été accordée à la population juive, et des efforts considérables ont été faits par ses officiers pour éviter les représailles et pour punir ceux qui en étaient coupables. Tant et si bien que la propagande de Petlurist contre le général Denikine le dénonça comme le protecteur des Juifs. Mesdames Healy, nièces de M. Tim Healy, concernant leurs expériences personnelles à Kief, déclarèrent qu’à leur connaissance et sur plus d’une occasion, les officiers qui avaient commis des infractions contre les juifs étaient réduits au statut de soldat du rang et envoyé hors de la ville vers le front. Mais les hordes de brigands par qui toute la vaste étendue de l’empire russe est en train de devenir infesté ne montrent aucune hésitation. Pour assouvir leur soif de sang et de vengeance au détriment de la population juive innocente chaque fois qu’une occasion se présente [Ce qui atteste la théorie que le petit peuple juif subie les représailles d’une population légitimement outrée, et devient ainsi l’étendard des martyres juifs brandit par ceux là même qui en sont indirectement la cause !]. Le brigand Makhno et les hordes de Petlioura et de Gregorieff, signalèrent tous leurs succès par les massacres les plus brutaux. Partout on trouva parmi les  population furieuses et frappées de stupeur une immonde révolte antisémite dans ses pires formes. Le fait que dans de nombreux cas les intérêts juifs et des lieux de culte juifs sont exclus par les bolcheviks dans leur hostilité universelle tend de plus en plus à associer la race juive en Russie avec les vilenies qui sont actuellement perpétrés.
Un foyer pour les Juifs.

Le sionisme offre la troisième sphère des conceptions politiques de la race juive. En contraste violent au communisme international. Le sionisme est déjà devenu un facteur dans les convulsions politiques de la Russie, comme une puissante influence concurrente dans les milieux bolcheviques avec le système communiste international. Rien ne pouvait être plus significatif que la fureur avec laquelle Trotsky a attaqué les sionistes en général, et le Dr Weissmann en particulier. La cruelle pertinence de son esprit ne lui laisse aucun doute sur le fait qu’un État communiste mondial sous la domination juive est directement contrarié et gêné par ce nouvel idéal, qui dirige les énergies et les espoirs des Juifs de tous les pays vers une solution plus simple, plus vraie: un objectif beaucoup plus réalisable. La lutte qui commence entre les sionistes et les juifs bolcheviques n’est pas moins d’une lutte pour l’âme du peuple juif.

Winton Churchill »

Remarque1 , Churchill considère que les juifs communistes se sont écartés du droit chemin en ayant « abandonné la foi de leurs ancêtres ». Churchill n’avait probablement pas lu le talmud

Remarque 2, à ce sujet, lire aussi « vive la révolution« , le témoignage d’une rescapée de la révolution russe.

Remarque 3, en 1920, la constitution d’un état hébreux pouvait paraître comme une opposition à la volonté d’une gouvernance globale soviétique entre des mains juives. Je ne suis pas sûr que ce soit toujours le cas. Dans Mein Kampf, Hitler fait par de son scepticisme vis-à-vis d’un tel état en imaginant qu’il pourrait facilement devenir la terre d’asile de toutes les crapules dont les actes auraient été dévoilées dans les nations du monde. Ce qui peut effectivement s’observer aujourd’hui. Néanmoins, il semble qu’il n’y est pas consensus dans la communauté à ce sujet. Le nombre croissant de juifs anti-sionistes est là pour en témoigner. Ils y voient, à juste titre, la dégradation dans le public goy de l’image juive… Kissinger ne déclara t-il pas que « Israël aura disparu dans 10 ans » ? Attali essaye d’ouvrir une nouvelle voie, en appelant de ses vœux l’institution de « Jérusalem comme capitale planétaire d’un gouvernement mondial« , c’est comme le dentifrice: deux en un.

Les allocs françaises pour tous et ce qu’en pense la Russie

Vous êtes polygame ? Vos enfants sont nés à l’étranger ? Grâce à l’Europe vous bénéficiez désormais des impôts des français. Selon l’estimation basse cela concernerait un demi-million d’enfants étrangers.

« On ferait mieux d’apprendre du suicide de l’Amérique, de l’Angleterre, de la Hollande et de la France si nous voulons survivre en tant que Nation » Vladimir Poutin (qui aura bientôt un cancer ?)

VOIR LA VIDEO

Heureusement, tous ces nouveaux venu qui vivent aux frais de la princesse, nous enrichissent culturellement. La Preuve par deux exemples:

 

1

clitoris_musulman

 

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le Dauphiné du 31 mai

« Jugé cette après-midi par le tribunal correctionnel de Valence dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate pour sévices de nature sexuelle envers un animal apprivoisé, l’homme, âgé de 53 ans, de nationalité tunisienne, a été condamné à deux mois ferme. »

Remarque 1, cette dernière affaire devrait réjouir les auditeurs de France Inter.

Remarque 2, ces infos ont été glanées sur le blog de « Français de France« 

CROSSblog – L’origine de la révolution de 1956 en Hongrie

[Le Blog d’Hervé Ryssen – le 18 novembre 2011]

Quelle est la cause de l’insurrection en Hongrie qui eu lieu en 1956. N’allez pas chercher sur wiki, évidemment cela n’y est pas. Tout le monde sait que la population en avait ras-le-derche de la dictature soviétique. Nous, à l’ouest, on a tous entendu parlé des tickets de rationnement et des magasins vides sans parler de la répression et de la police politique. Voici une version légèrement différente… tout est dans le « légèrement ». Je recopie ici un article paru le 18 novembre 2011 sur le blog d’Hervé Ryssen, pour vous faire une idée par vous même de la question. Je ne sais pas si c’est la même personne, mais il y a trois blog qui portent ce nom ici, et ici. Je reproduis donc l’article en question, c’est un peu hardcore, mais ça peut être intéressant de connaître le point de vue des interdits d’antenne.

« David Irving nous dit ce qu’il pense des juifs

David Irving, l’historien sans doute le plus célèbre d’Angleterre, explique ici que l’insurrection hongroise de 1956 était au début une révolte contre le pouvoir juif. Dans notre livre le Fanatisme juif (2007), nous avons comparé la version anglaise de son livre sur ce sujet (Uprising), avec la version française. Et il se trouve que le traducteur avait purement et simplement élagué les passages les plus explicites sur le rôle atroce joué par la PCI (petite communauté internationale) dans la tragédie de la Hongrie sous le joug du communisme. Question : à votre avis, comment se nommait ce traducteur ? »

Hongrie 1956, les origines censurées de… par Agent__001